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Admin-lane

Pétition : Stop à la pollution de la barrière de corail par une usine de transformation du nickel

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Début février 2014 - Fin ?
Auteur :


Cible : Clive Palmer


Une raffinerie de nickel Queensland, détenue par Clive Palmer, rejette ses eaux usées toxiques dans la Grande Barrière de Corail, même si cela est interdit.  Comme si enfreindre la loi ne suffisait pas, Palmer refuse de retirer le tuyau qui rejette l'eau toxique dans le récif.

Maintenant, il menace la Reef Marine Park Authority (en charge de la Grande Barrière) de la poursuivre en justice en réclamant 6,4 milliards de dollars si elle continue son comportement d'"obstruction".  Malgré tout cela, aucune poursuites civiles ou pénales n'ont été engagées contre Clive Palmer ou son entreprise.

Dites Clive Palmer et à sa raffinerie de nickel d'arrêter de polluer le récif et de payer pour nettoyer les dégâts en signant cette pétition.

La menace qui pèse sur l'écosystème local, a été décrite dans des documents internes comme "semblable à une décharge quotidienne d'eaus usées traitées d'une ville de 7 millions de personnes".

La grande barrière de corail ne doit pas subir davantage de dégâts. C'est une icône australienne inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco, pour qui le réchauffement de la température de l'océan (acidification), constitue déjà un risque. Elle soutient également l'industrie du tourisme (rapport de 5 milliards de dollars) et procure un emploi à plus de 63.000 australiens.

Demandez à Clive Palmer de cesser de décharger des eaux usées toxiques dans la grande barrière de corail et qu'il paie pour son nettoyage.


CLIQUEZ ICI pour SIGNER la PETITION






Plus d'informations (liens en anglais) : Clive Palmer's nickel refinery pumped toxic waste into Great Barrier Reef Park, Guardian, 12 février, Clive Palmer's Yabulu refinery a 'reef risk', says report, Australian, 12 février.


SUMofUS février 2014

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Début ? Fin ?
Auteur :

Cible : Greg Hunt, ministre fédéral de l'Environnement, Campbell Newman, le Premier ministre du Queensland et Andrew Powell, ministre du Queensland pour l'environnement.

Le dragage creuse le lit de la mer, détruisant l'habitat des poissons et des mollusques et les herbiers dont des créatures comme les tortues et les dugongs dépendent pour leur alimentation. Le taux de décès de tortues, dauphins et  dugongs a considérablement augmenté à Gladstone après que le dragage ait commencé dans le port en 2011.

 La Grande barrière de corail est menacée. Les gouvernements fédéral et du Queensland ont approuvé un permis pour creuser et déverser 3 millions de tonnes de boues provenant d'un terminal charbonnier expansion à Abbott Point dans le récif. Ce dragage va mettre la pression énorme sur l'écosystème marin déjà fragile - et pourrait tuer d'innombrables animaux. Ce n'est que récemment, qu'une enquête a été demandée pour un autre projet de dragage dans la Grande Barrière de Corail, à Gladstone Harbour, en raison de:

- Morts en masse d'animaux marins, y compris les tortues, les dugongs et les dauphins.
- D'innombrables poissons morts ou malades, et les pêcheurs eux-mêmes tombent malades.


Les dommages à l'écosystème dans Gladstone Harbour, qui n'a toujours pas récupéré de l'impact des travaux de dragage. Dumping des sédiments, étouffement des coraux et des algues marines dans la région, nuisent à l'environnement dont les poissons, mollusques et autres animaux marins dépendent pour survivre.

Comment un autre permis de dragage peut être accordé dans la Grande Barrière de corail quand un projet antérieur est toujours en cours d'enquête?

La décision de déverser du sable et du limon venant du dragage dans les eaux de la Grande barrière de corail pourrait causer d'incommensurables souffrances pour les animaux et pousser la barrière encore plus vers la Liste du patrimoine mondial en danger "mur de la honte".

En Juin 2013, le "bras" environnemental des Nations Unies a donné au gouvernement australien d'un délai de 12 mois pour montrer qu'il est capable d'améliorer la santé du récif. Au lieu de cela, il semble qu'il fait exactement le contraire !

Votre voix est nécessaire pour protéger nos récifs et les animaux qui y vivent! aidez-nous à envoyer un message fort que la communauté refuse le dragage et l'immersion dans les eaux récifales à Abbot Point. Dites au Ministre fédéral de l'environnement, Greg Hunt, le premier ministre du Queensland, Campbell Newman et le ministre du Queensland pour l'environnement, Andrew Powell, que vous ne laisserez pas traiter la barrière de corail comme comme une décharge d'ordures.

CLIQUEZ ICI pour SIGNER la PETITION


Unleashed.org.au/ Take Action 24/3/2014 (Photo Julien Willem CC-BY-SA-3.0, 2.5,2.0,1.0)

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Sydney (AFP) - Les défenseurs de l'environnement australiens se sont félicités de la décision de la Deutsche Bank de renoncer à investir dans un port minier situé près de la grande barrière de corail.

Le gouvernement fédéral australien a donné son feu vert en août 2013 à ce projet d'extension d'un terminal pour le charbon en l'assortissant de conditions drastiques de protection de l'environnement. Mais il s'attire les foudres des organisations de protection de la nature. Il doit être réalisé par les groupes indiens Adani et GVK à Abbot Point (nord-est), près de la grande barrière de corail.

 Un requin léopard nage à côté de plongeurs de Greenpeace brandissant une banderolle appelant l'Unesco à sauver la grande barrière de corail, le 5 mars 2012 à l'Aquarium de Sydney (c) Afp

Lors de son assemblée générale vendredi, la Deutsche Bank a indiqué que sa politique concernant les investissements près de sites mondiaux classés lui interdisait tout investissement dans ce projet. "Deutsche Bank n'appuie pas des projets lorsque le gouvernement et l'Unesco ne sont pas d'accord sur le point de savoir si ceux-ci menacent ou non l'importance exceptionnelle d'un site", a indiqué la banque allemande dans un communiqué.

Autres banques associées visées : "Nous constatons qu'il n'y a pas actuellement de consensus entre l'Unesco et le gouvernement australien sur l'agrandissement d'Abbot Point près de la grande barrière de corail. Notre politique requiert au minimum un consensus et en conséquence nous n'étudierons pas les demandes de financement" pour ce projet, a souligné la banque.

L'Unesco a fait part de ses préoccupations concernant ce projet qui envisage un développement des opérations portuaires et minières et doit en discuter en juin.

La Société de conservation maritime australienne, qui fait campagne contre l’agrandissement du port, s'est félicitée de la décision de Deutsche Bank. Selon elle, elle démontre les préoccupations internationales devant les projets "d'industrialisation côtière près de la grande barrière de corail".

"Les milieux financiers abandonnent le projet d'Abbot Point comme des mouches montrant une volonté grandissante de ne pas être associés aux énormes risques financiers et à ceux menaçant leur réputation, a estimé Felicity Wishart, porte-parole de la Fondation. "Voudriez-vous voir votre nom associé à la destruction de l'une des plus grandes merveilles du monde, la grande barrière de corail ?", a-t-elle ajouté.

Le projet approuvé prévoit le dragage de millions de tonnes de sable à proximité de la grande barrière dans des conditions strictement définies. Le ministre australien de l'Environnement Greg Hunt a affirmé que la protection de la grande barrière était la première priorité.

Le développement du port d'Abbot Point est considéré comme essentiel pour les mines de charbon du bassin de Galilée dans l'Etat du Queensland et l'exportation du minerai vers l'Asie.

Selon Greenpeace, la production de la mine, qui devrait atteindre près de 30 millions de tonnes de charbon thermique par an à partir de 2015, se classera parmi les dix plus grands émetteurs mondiaux de dioxyde de carbone lorsqu'elle atteindra sa capacité maximale.

D'autres banques associées au projet sont visées par des manifestations de groupes environnementalistes. Une antenne de la Société Générale à Bayonne (sud-ouest de la France) avait été ainsi occupée à la mi-mai.

Sciences et avenir 26/5/2014

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