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Une campagne liée aux orques en captivité fait plonger l'activité de SeaWorld

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Cible : Hamilton James, CEO of The Blackstone Group
Sponsorisée : PETA

PETITION CLOSE


Seaworld continue à fermer les yeux concernant la sécurité des animaux et des humains en dépit de nombreuses tragédies, dont la mort d'une maman orque et de son bébé, la noyade d'un autre antraîneur suite à un geste de désespoir d'une baleine.

Les animaux marins tels que les dauphins, les orques ou les baleines sont des animaux intelligents et sociaux qui sont, hélas, maintenus dans des bassins trop petits à Seaworld. De ce fait, ils ne peuvent donner libre cours à leur comportement naturel, et pourtant c'est important pour eux !


Certains de ces animaux ont été capturés violemment dans la nature et arrachés à leur famille (qui est très importante pour eux). Et beaucoup d'entre-eux sont obligés d'apprendre et d'exécuter des numéros de cirque.

Selon les informations qui nous été fournies, il serait conseillé aux formateurs (ou entraîneurs) de priver de nourriture et d'isoler ceux qui refusent d'accepter les méthodes de formation à ces tours ! ...

Les animaux qui évoluent ne montrent pas leur détresse... Ils n'ont pas le choix s'ils veulent recevoir de la nourriture... La seule chose que vous devez retenir c'est que dans les parcs de Seaworld, la vie de ces animaux prisonniers est misérable...

S'il vous plaît prenez un petit moment de votre temps pour écrire au groupe  Blackstone -la société qui détient SeaWorld- pour lui demander qu'elle prenne immédiatement, et fermement, des mesures pour mettre en place un plan de libération des animaux dans des sanctuaires.



CLIQUEZ ICI pour signer LA PETITION




Care2 avril 2012

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Washington (AFP) - Une campagne menée contre les parcs à thèmes aquatiques de SeaWorld au sujet de ses orques a fait plonger mercredi le cours de l'action de plus de 30% à la Bourse de New York.

SeaWorld Entertainment, qui gère onze parcs d'attraction très populaires aux Etats-Unis, n'a mentionné que du bout des lèvres cette campagne au sujet des orques en captivité lancée après la diffusion l'an dernier par une chaîne nationale d'un documentaire intitulé "Blackfish" ("L'orque tueuse" en France).

 L'orque Tilikum, qui avait tué un dresseur, lors d'une représentation le 30 mars 2011 au parc aquatique SeaWorld à Orlando en Floride (c) Afp

Le groupe "pense que la fréquentation au (deuxième) trimestre a pâti de la pression générée par la récente attention médiatique autour d'une proposition de loi dans l'état de Californie".

Un parlementaire californien, Richard Bloom, a en effet déposé une proposition de loi en mars pour interdire l'utilisation d'orques en captivité dans des spectacles, en ciblant le parc SeaWorld de San Diego (Californie, sud-ouest des Etats-Unis). Ce faisant, il a fait référence au documentaire portant sur les conséquences de la captivité sur les orques du groupe américain et sur l'attaque mortelle de l'un d'entre eux, Tilikum, sur un dresseur.

SeaWorld Entertainment a vu son chiffre d'affaires fondre de 5% au premier semestre, tendance qui devrait se creuser sur la fin de l'année puisque le groupe prévoit une chute de 7% sur l'ensemble de son exercice. La raison, a-t-il justifié, en est une concurrence plus féroce, un retard pris par une nouvelle attraction et, indirectement, une conséquence de la controverse. Reste que sa performance semestrielle fait pâle figure à côté de celle de Walt Disney Co, qui opère des parcs d'attraction sur le même segment de marché et qui a vu l'activité de ses parcs progresser de 8,2% sur la même période.

Il y a deux semaines, la compagnie américaine Southwest Airlines a annoncé qu'elle mettait fin à un partenariat engagé il y a 26 ans avec SeaWorld. Il prévoyait notamment que deux avions soient peints aux couleurs de Shamu, le premier orque de SeaWorld. Elle a argué d'un "changement de priorités", mais certains observateurs ont évoqué un lien avec la campagne car des manifestations avaient ciblé la compagnie aérienne.

----->C'est plutôt une bonne nouvelle... Ce serait bien que cette campagne continue en la diffusant plus largement encore... N'hésitez pas à relayer l'information sur tous les supports possibles...


Sciences et avenir 13/8/2014

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Face à la campagne menée au sujet des conditions de vie des orques, les parcs à thèmes aquatiques américains SeaWorld ont annoncé vendredi la construction de delphinariums plus grands. Mais pour l'organisation PETA, l'annonce de cette mesure ne sert qu'à "gagner du temps".

Selon SeaWorld Entertainment, ces delphinariums, "inédits", permettront aux orques de profiter d'un environnement "spacieux". Le premier d'entre eux doit être construit à San Diego, en Californie, et contiendra 38 millions de litres d'eau pour une surface de 6000 mètres carrés et une profondeur de 15 mètres. Il devrait être prêt en 2018. Suivront ensuite les parcs SeaWorld d'Orlando en Floride, et de San Antonio au Texas.

SeaWorld a en outre annoncé le versement de 10 millions de dollars (9 millions de francs) pour "l'étude et la protection des orques dans leur environnement naturel".

Mercredi, l'action du groupe avait plongé de plus de 30% à la Bourse de New York après la publication de résultats en berne, dans la foulée d'une campagne menée contre lui au sujet du traitement de ses orques. Celle-ci a été lancée après la diffusion l'an dernier par une chaîne nationale d'un documentaire intitulé "Blackfish" ("L'orque tueuse" en France) au sujet des orques en captivité.

Un parlementaire californien a ensuite déposé une proposition de loi en mars pour interdire l'utilisation d'orques en captivité dans des spectacles, en ciblant le parc SeaWorld de San Diego.

----->Seaworld (*) sortirait grandi en libérant les orques qu'il retient prisonnières, après une période de réadaptation bien sûr. Il est fini le temps où l'on pouvait berner les gens en leur faisant croire que les spectacles d'animaux "emprisonnés" étaient "éducatifs". Les mentalités évoluent, un peu trop lentement, certes, dans certains domaines, mais elles évoluent. Les gens, partout dans le monde entier, cherchent à vivre plus naturellement et refusent de plus en plus l'utilisation des animaux, sauvages, domestiques ou domestiqués, à des fins mercantiles : spectacles, recherche, expérimentation.... Seaworld pourrait se reconvertir en créant des parcs à thème autour de l'utilisation de l'eau par des installations géantes : piscine à vagues par exemple, associés à des spectacles mais sans animaux...


(*)Seaworld, comme toutes les sociétés qui utilisent les animaux marins, comme Marineland, le parc Astérix et Planète sauvage en France...



Romandie 16/8/2014

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Los Angeles (AFP) - L'entreprise américaine de parcs aquatiques SeaWorld a suspendu un de ses employés accusé par une association écologiste de s'être infiltré dans ses rangs, sur fond de bataille sur le traitement des orques, dont la vie en captivité fait polémique.

L'organisation de défense des animaux PETA, qui est vent débout contre l'entreprise de parcs à thème, a affirmé en début de semaine que SeaWorld avait envoyé un agent infiltré dans ses rangs pour participer à des rassemblements et inciter les défenseurs des animaux à mener des actions violentes. De telles actions auraient probablement discrédité l'organisation.

 Des visiteurs regardent des orques dans un bassin de Seaworld à orlando, en Floride, le 24 février 2010 (c) Afp

"Ces allégations à l'égard (...) d'un employé de SeaWorld sont très préoccupantes. Ces allégations, si elles s'avèrent vraies, ne sont pas cohérentes avec les valeurs de SeaWorld et ne seront pas tolérées", a réagi le groupe basé à Miami dans un communiqué. "Nous avons placé cet employé en question en congé administratif le temps de mener notre enquête", poursuit le texte.

Mais PETA avance que "Seaworld n'a pas limité ses efforts d'espionnage aux activités" de cet employé.

Seaworld a "embauché des manifestants pour assister à des rassemblements (contre les parcs à thème) et PETA enquête actuellement sur deux autres hommes qui seraient des employés de SeaWorld recrutés pour infiltrer PETA en tant que +volontaires+, et la liste va s'allonger", affirme l'association.

"Suspendre vos propres agents est une bonne vieille technique, souvent accompagnée d'ententes secrètes avec des compensations et la promesse de les réintégrer lorsque les choses se calmeront", a poursuivi l'association.

SeaWorld avait reconnu l'année dernière que ses revenus avaient diminué en partie en raison de campagnes dénonçant les spectacles avec des orques.

En 2013, la diffusion par une chaîne nationale du documentaire acclamé "Blackfish" ("L'orque tueuse" en France) avait alimenté le débat sur les dangers de la vie captivité pour les orques.

SeaWorld a depuis entamé des travaux d'agrandissement de ses delphinariums, qui doivent être terminés en 2018.


Sciences et avenir 18/7/2015

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Le parc d'attraction SeaWorld entend répondre à l'accusation de ses détracteurs selon laquelle la captivité réduirait l'espérance de vie des orques, étude (financée) à l'appui. Convaincant ?

La guerre médiatique n'en finit pas entre SeaWorld et les opposants à la captivité des cétacés. Après le coup de tonnerre déclenché par la diffusion du documentaire Blackfish en 2013 aux États-Unis (L'orque tueuse en France en 2014), la dégringolade en bourse l'année suivante et les récentes accusation d'infiltration de l'association de défense des animaux PETA, une nouvelle bataille semble être engagée.


 Tilikum, au parc SeaWorld de Floride, cristallise les tensions autour de la question de la captivité des cétacés. ©️GERARDO MORA / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP

Cette fois, SeaWorld conteste, étude à l'appui, les chiffres avancés dans Blackfish à propos de l'espérance de vie des épaulards captifs
. Le film avance en effet qu'il existe une différence importante de longévité entre les orques vivant en captivité et celles qui nagent librement dans l'océan. Et ce, au bénéfice des orques sauvages. Tandis que, dans le même reportage, les employés du parc affirment une tendance inverse auprès des visiteurs, laissant entendre que finalement la captivité permet aux animaux de vivre plus longtemps et en meilleur santé. Qu'en est-il réellement ?

Ladite étude est d'emblée placée sous l'égide du "prestigieux Journal of Mammalogy". Selon ses résultats, les orques de SeaWorld auraient une espérance de vie moyenne de 41,6 ans (tous sexes confondus), contre 29 ans et 42,3 ans pour deux populations d'orques libres, vivant près des côtes américaines du Pacifique Nord, les premières nageant dans une région sud et les secondes dans une zone plus au nord.

Arte


Des chiffres très éloignés de ceux de Blackfish, comme on peut le voir dans l'infographie (ci-desous) jointe au synopsis sur la page d'ARTE et selon laquelle la durée de vie des captives de SeaWorld est de 35 ans, contre 60 ans pour les mâles sauvages et même 90 ans pour les femelles... Soit plus du double de ce qu'avancent les scientifiques du centre de recherche de SeaWorld.

Alors qui dit vrai ? Joint par Sciences et Avenir lors d'une précédente interview, l'océanologue français Christophe Guinet évoquait la durée de vie des orques sauvages en ces termes : "Ces animaux vivent normalement environ 40 ans pour les mâles et 60-80 ans pour les femelles". Soit des âges plus proches de ceux de Blackfish que de l'étude financée par SeaWorld. Vous avez dit conflit d'intérêt ?


S et A 28juillet2015

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La Commission Côtière de Californie a tranché : les orques du SeaWorld de San Diego ne pourront plus se reproduire. Cette mesure préfigure la fin de la captivité des épaulards dans cet État.

Jeudi 8 octobre 2015, la Commission Côtière de Californie a autorisé le SeaWorld de San Diego à agrandir le bassin des orques dans l'optique de son agrandissement : Blue World Project. Ainsi, le nouveau bassin aura une profondeur de 15,2 mètres de profondeur et une surface de 1,5 hectare. La contenance de l'enclos passera de 22 millions de litres à 37,24 millions. Ces travaux à 100 millions de dollars ont donc été autorisés...

 killerpot. stuclaire 8/8/2015


Les effets de "Blackfish", le film de Gabriela Cowperthwaite sorti en 2013 se poursuivent. Le long métrage dénonçant comme ignobles les conditions de capture et d'élevage des orques a porté un coup presque fatal au parc. Au cours des dernières années, l'action de Seaworld en bourse est globalement en chute. Le temps est peut-être venu pour SeaWorld de se passer de Shamu (nom générique donné aux orques du parc).





Sciences et avenir 12/0/2015

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Seaworld souhaite que l'interdiction de faire reproduire les orques du parc de San Diego soit levée. Pour cela, le groupe va intenter une action en justice contre la Commission Côtière de Californie qui est responsable de cette décision.

Selon CDS8, la société SeaWorld Parks & Entertainment qui gère les parcs Seaworld, a décidé de poursuivre en justice la Commission Côtière de Californie afin d'obtenir l'autorisation légale de faire reproduire les 11 orques du parc de San Diego. Le jeudi 15 octobre 2015, les responsables du parc ont exprimé publiquement leur souhait de passer outre l'autorité de la CCC. 

 Des activistes pour les droits des animaux manifestent contre la captivité des orques à Malibu, Californie. ©️ Damian Dovarganes/AP/SIPA

Le PDG de Seaworld, Joel Manby, a déclaré que la commission "a été au-delà de sa juridiction et de son autorité". Selon Seaworld, le bien-être animal est géré seulement par les lois fédérales et celles propres aux différents Etats

Rappelons que le jeudi 8 octobre 2015, la Commission Côtière de Californie avait autorisé le SeaWorld de San Diego à agrandir le bassin des orques grâce à des travaux dont la facture s'élève à 100 millions de dollars. Mais dans le même temps, elle avait interdit de quelque manière que ce soit la reproduction des orques présentes initialement dans le bassin. Elle avait également refusé la vente ou le transfert d'épaulards avec d'autres parcs aquatiques.


sciences et avenir 20/10/20154

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La compagnie SeaWorld Entertainment a annoncé* la fin progressive des spectacles d'orques dans le parc de San Diego.

Lundi 9 novembre 2015, la compagnie SeaWorld Entertainment a annoncé dans un communiqué la fin des spectacles d'orques tels qu'ils sont produits à l'heure actuelle. Ce serait donc la fin de l'exposition théâtralisée des épaulards et le début d'une "nouvelle expérience" où les animaux seront montrés au grand public dans un cadre plus naturel

L'entraîneur sur une orque à SeaWorld Orlando. Tim Ross / domaine public

Pour cela, SeaWorld promet moins de tours (pirouettes, échouage à côté du soigneur et autre) mais une valorisation des comportements naturels de l'espèce. Ce changement devrait se produire progressivement dès 2017 et aurait pour but de sensibiliser le public à la conservation des orques tout en tentant de relancer le chiffre d'affaire de la compagnie qui ne cesse de chuter depuis 2013 avec la diffusion du documentaire de Gabriela Cowperthwaite, Blackfish

"Nous commençons chaque nouvelle expérience en écoutant nos visiteurs et les spectacles sont modifiés en fonction de ce que nous entendons. Et nous avons compris qu'aujourd'hui, les gens veulent des expériences plus naturelles et plus proches de ce qui se passent dans la nature" a récemment déclaré le PDG de SeaWorld Entertainment Joel Manby dans un journal californien local (The San Diego Union-Tribune).

De cette façon, Manby cède finalement à la décision de la Commission Côtière de Californie qui avait interdit la reproduction des orques au parc de San Diego mais avait autorisé l'agrandissement de leur bassin pour 100 millions de dollars (La société a mis ce plan en stand-by, en disant qu'elle va investir dans une nouvelle "expérience" qui débutera en 2017). Une partie de cet argent pourrait servir à financer une station de vacances en collaboration avec la société Evans Hotels. Le problème est que si le Shamu Show sera bientôt fini à San Diego, la compagnie reste discrète sur son avenir dans les parcs de San Antonio et d'Orlando

Cependant, selon Dennis Speigel, un expert reconnu des parcs à thème, il est impossible pour SeaWorld de poursuivre les spectacles dans les autres parcs dans ces conditions : "Ce n'est pas ainsi qu'opère cette industrie" a-t-il déclaré. Et le problème pourrait de toutes façons être réglé définitivement car Adam Schiff, un parlementaire américain qui souhaiterait faire passer un projet de loi interdisant de garder et d'élever des orques en captivité, de capturer des orques sauvages et de transférer des épaulards d'un parc à l'autre. Actuellement, il reste 24 orques en captivité à SeaWorld et 11 d'entre elles sont au parc de San Diego.

Selon The Guardian, Joel Manby, de la direction de Seaworld, a dit lundi aux investisseurs, dans un "webcast" que l'entreprise allait se recentrer sur la conservation des animaux plutôt que de les utiliser comme un divertissement. «Les gens aiment les entreprises qui ont un but, même les entreprises à but lucratif».

* Lire les explications figurant dans le rapport fait aux investisseurs (Pdf en anglais) : http://q4implementation.s3.amazonaws.com/2015.11%20SEAS_Investor_Day_FINAL.pdf


Sciences et avenir 10/11/2015

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Le parc d'attraction aquatique SeaWorld de San Diego (Etats-Unis), accusé de maltraiter les animaux, a annoncé lundi 9 novembre qu'il allait progressivement supprimer l'une de ses attractions vedettes avec des orques

Victoire pour la cause animale ? Pas tout à fait. Le spectacle de son parc californien sera remplacé en 2017 par une nouvelle attraction "éducative". 


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Si les soigneurs ne prendront plus part aux spectacles pour réaliser des numéros répétés, les orques continueront d'être présentées aux spectateurs, précise The Independent (en anglais). Les visiteurs pourront les observer dans des activités "plus naturelles", comme les sauts qu'elles réalisent en pleine nature.

Les spectacles des parcs SeaWorld au Texas et en Floride ne seront cependant pas modifiés, a indiqué un porte-parole du groupe.


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L'association de protection des animaux Peta, l'une des premières à avoir dénoncé le traitement des orques par SeaWorld, a estimé que le retrait du spectacle n'était pas suffisant (en anglais). "C'est comme si un cirque arrêtait de fouetter les lions pendant des spectacles mais les gardait emprisonnés dans des cages à vie", a estimé Jared Goodman, de Peta.

SeaWorld s'est retrouvé sous le feu des critiques et a vu sa fréquentation plonger dans ses parcs, particulièrement en Californie, après la diffusion en 2013 d'un documentaire, Blackfish. Très acclamé, le film dénonçait l'impact de la captivité sur les orques.


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SeaWorld s'était défendu en déclarant traiter les animaux avec dignité et n'avoir pas capturé d'orques au large depuis 35 ans. Les organisations comme ce parc "font partie de la solution, pas du problème", a estimé la société.

Le sujet parle des orques... mais les dauphins sont aussi victimes de ces machines à attraction destinées à remplir les poches des dirigeants de ces parcs. Les "spectacles" présentés n'ont rien à voir avec la vraie vie de ces animaux dans les océans, ils ne sont en aucun cas "éducatifs" et sans lien avec leur préservation : ces animaux ont été prélevés, pour la plupart dans la nature. Et tant que cela durera, il y aura toujours des campagnes de chasse comme celle de Taiji (où des centaines de dauphins sont tués dans des conditions atroces) pour alimenter les parcs d'attraction... 

 Infographie The Independant



Francetv info 10/11/2015

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L’entreprise de parc aquatique SeaWorld a annoncé jeudi 17 mars qu’elle avait trouvé un accord avec la grande association de protection animale Humane Society of the United States (HSUS) et qu’elle renonçait à son programme d’élevage d’orques en captivité. C’est une belle victoire pour les animaux et leurs défenseurs.

Les épaulards détenus actuellement dans les douze parcs que gère la compagnie font donc partie de la dernière génération d’orques de spectacle.




« L’annonce de ce jour marque la fin de l’ère des orques en captivité », a appuyé la HSUS dans un communiqué de presse.

SeaWorld a par ailleurs annoncé que les spectacles d’orques seraient progressivement arrêtés et que les derniers mammifères en captivité seront utilisés pour la recherche scientifique et l’éducation.

Toutefois, l’entreprise a ajouté que les orques ne seraient pas relâchés dans leur milieu naturel. « Nos animaux n’y survivraient pas » a indiqué le parc, évitant la possibilité de leur offrir une retraite paisible dans un sanctuaire adapté, comme certains l’avaient appelé de leurs voeux.




Cela fait plusieurs années que SeaWorld est sous le feu des critiques. En 2013, le documentaire à charge Blackfish dénonçait les conditions de détention des mammifères marins. Une grande partie de l’opinion publique américaine s’était alors élevée contre le triste sort réservé à ces animaux.

L’année dernière, l’autorité californienne en charge du littoral avait validé le projet d’agrandissement des bassins réservés aux orques à condition que SeaWorld  renonce au programme d’élevage. L’entreprise avait alors tout fait pour éviter cette contre-partie et a même récemment reconnu avoir infiltré des groupes de défense des animaux.




L’association PETA (Pour une Éthique dans le Traitement des Animaux) qui, aux côtés d’autres organisations, mène une campagne d’ampleur contre SeaWorld a salué l’annonce et à appelé l’entreprise à poursuivre ses efforts dans le bon sens.

Pour "fêter" cette bonne nouvelle et faire pression sur le parc français Marineland pour que la captivité de ces grands animaux cesse aussi dans notre pays, vous pouvez signer cette pétition sur le site Avaaz qui a déjà rassemblé plus de 80'000 personnes (celle lancée par PETA est close).



HolidogTimes 19/3/2016

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