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Chevaux : Stop aux calèches dans New York

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Cible : Le maire Bloomberg
Parrainé par : Care2.com

Lorsqu'un des chevaux promenant des touristes ou des amateurs a entendu le son des tambours à Central Park, il a été affolé et s'est précipité sur le trottoir où il s'est retrouvé coincé entre les deux bras de la calèche (il n'est pas dit si elle était vide). Smoothie (le nom de la jument) a eu du mal à garder son équilibre, puis a fini par tomber et est morte. Un second cheval, affolé lui aussi par le bruit a fait un écart sur la route et a été percuté par une voiture.

Photo CARE2



Les balades à cheval à New-York, sur du béton, usent leurs sabots et les chevaux doivent supporter le froid, la chaleur étouffante, inhaler constamment les gaz d'échappement toxiques des voitures. Ils souffrent d'épuisement parce que la nuit ils ne peuvent pas s'allonger confortablement dans leurs stales minuscules, remplis de fumier de crottin.

De plus, les chevaux occasionnent des embouteillages et donc aussi, malheureusement, des accidents, dans une partie de la ville déjà largement encombrée.

Les chevaux ont besoin de socialisation, de pâturages, de bénéficier d'un espace ouvert pour se détendre et gambader. Choses qu'ils n'ont pas dans une ville comme New-York...

Nous pouvons mettre fin à leur souffrance : dire au maire Bloomberg de proscrire les transport en calèches, lesquels sont cruels pour les chevaux dans la ville de New York.

Signez la P E T I T I O N cliquez ICI



Source : Care2

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De nombreux guides de New York City suggèrent de prendre une calèche pour faire un tour à travers Central Park. Mais certains groupes de défense des animaux affirment que cet anachronisme fait entièrement partie du passé de la ville.

Le nouveau maire élu, Bill de Blasio, a été l'un des partisans de l'interdiction des calèches dans Midtown. Toutefois Politico rapporte qu'il est difficile de savoir comment le nouveau maire agira. "De Blasio a refusé de fournir des détails sur la manière dont il procèdera, lors d'une question au cours de la transition, en disant seulement qu'il s'est engagé à donner suite à l'interdiction. Plus tôt ce mois-ci, il a par ailleurs participé à une collecte de fonds organisé par le groupe de défense NYCLASS.

 CC BY 2.0 Eden Photos

NYCLASS, est l'une des organisations qui mène le combat pour interdire les promenades en calèche. A Juste titre, l'organisation dit que les chevaux ne bénéficient pas de pâturage approprié, qu'ils sont exposés au gaz d'échappement et qu'ils travaillent trop. L'organisation affirme également que les chevaux s'effraient facilement, conduisant à des accidents de la circulation inutiles.

 

djgabrielpresents 24/10/2013


Il y a peu, un conducteur (cocher) de calèche a été accusé de violence envers les animaux, lorsqu'un agent de police a découvert qu'un cheval tirant une calèche était blessé.

Même en l'absence de violence pure et simple, les promenades en calèche dans la ville sont un sujet controversé. Il y a environ 200 chevaux dans cette industrie du tourisme à Manhattan qui emploie environ 300 travailleurs et rapporte quelque 19 millions de dollars annuellement. Tout le monde, conducteurs et membres du syndicat des Teamsters, se bat naturellement pour la conservation de l'emploi et beaucoup sont fiers de prendre soin de leurs animaux, comme Jaymi Heimbuch l'a souligné en 2011 :


 Jaymi Heimbuch / CC BY-NC-ND 3.0


"Récemment, j'ai visité New-York et parcouru une ligne droite avec des chevaux d'attelage, juste pour être près d'animaux que j'aime. Et je dois dire en regardant 5 des chevaux présents qu'ils avaient l'air très bien soigné ! Ils ne présentaient aucun signe de maladie ou de négligence. Il y avait même un sentiment de fierté des cochers à l'égard de leurs chevaux et une personne qui maltraite ou néglige un cheval ne permettrait pas à un photographe de passer plus de 20 minutes à prendre des clichés sous tous les angles. Il semble clair que les cochers n'avaient rien à cacher".

 

djgabrielpresents 17/8/2012


NYCLASS et la  Société américaine pour la prévention de la cruauté envers les animaux, ont proposé une législation visant à éliminer progressivement l'utilisation du cheval et de la calèche pour des promenades, et proposent de les remplacer par des voitures électriques type vintage. Un projet de loi avait été déposé dans ce sens en 2010, mais n'avait pas abouti. Mais, depuis, NYCLASS a commandé une voiture prototype.

 Photo NYCLASS, Andy Cush


Pour autant, il est peu probable que les voitures anciennes (même électriques) puissent remplacer ou attirer les cochers actuels, dit le dirigeant syndical Demos Demopoulos, «ce sont tous des gens de chevaux» dit-il.


 
CNN 27/12/2013


Dans la perspective de l'élection, DNA Info rapporte que De Blasio semblait être en faveur de la législation du remplacement des chevaux par des voitures électriques: "Il est temps pour la ville d'arrêter de contourner cette importante question de bien-être animal et d'embrasser une solution raisonnable qui vaut l'essai," at-il ajouté. "Nous n'avons absolument rien à perdre d'essayer."

 Dans cette vidéo, il s'agit du sauvetage d'un cheval de l'abattoir (Bobby II), ayant tiré des calèches une partie de sa vie, il est devenu boîteux... Il est accueilli ici dans un sanctuaire. EquineAdvocates 10/7/2010


Tree Hugger 30/12/2013

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New York (AFP) - Les calèches de Central Park doivent-elles disparaître? La bataille fait rage à New York autour de cette attraction centenaire, que le nouveau maire veut remplacer par des voitures électriques.

"Nous allons nous débarrasser des calèches. Ce n'est pas humain, ce n'est pas cohérent en 2014", avait déclaré Bill de Blasio fin décembre, promettant de le faire "dans les premiers jours" de son mandat début janvier. "Ce n'est pas négociable", a-t-il encore répété fin février, tout en promettant de discuter avec ceux qui vivent de cette activité touristique qui emploie 220 chevaux et 170 cochers à plein temps, pour 68 calèches.


AFP 6/3/2014


"New York est l'une des villes les plus congestionnées du monde, ces chevaux travaillent dans la circulation, les naseaux dans les pots d'échappement, ce n'est tout simplement pas un environnement pour eux", explique à l'AFP Chelsie Schadt, une des responsables de NYClass, groupe de pression qui veut la fin des calèches. Le groupe a donné 1,3 million de dollars pour les campagnes de Bill de Blasio et d'autres candidats à la mairie opposés à cette attraction touristique immortalisée de manière très romantique dans de nombreux films.

"Il s'agit seulement de défendre les animaux" insiste Chelsie Schadt, dénonçant une vingtaine d'accidents impliquant des calèches ces deux dernières années. "Les chevaux ont besoin de brouter tous les jours, de socialiser avec d'autres chevaux", dit-elle aussi, soulignant que ceux de Central Park n'ont jamais ce loisir, passant de l'écurie au parc, et du parc à l'écurie.

Dans les quatre écuries qui les hébergent, l'heure est donc à l'attente inquiète. Conor McHugh, solide Irlandais manager des Ecuries de Clinton park, sur la 52e rue, en ouvre volontiers les portes.

Construites en 1860, elles accueillent au rez-de-chaussée des calèches sagement rangées, avec leurs fleurs en plastique et leurs drapeaux américains. En sous-sol des pédicabs. Et à l'étage, 79 chevaux en box individuel d'au moins 3m sur 2,4m. Il montre les bols d'eau, la paille, le système d'arrosage automatique en cas d'incendie. Explique que tous les chevaux qui promènent les touristes à Central Park doivent passer au moins cinq semaines par an dans une ferme, et ne peuvent pas travailler - de porte à porte - plus de 9 heures par jour. Ils ne peuvent pas davantage travailler s'il fait plus de 32°C, ou moins de -7°C.

"Ceux qui sont contre nous insistent que nos chevaux ne passent jamais de temps dans une ferme, ne peuvent pas courir dans les champs, ne peuvent pas vivre comme des chevaux. Mais la loi leur garantit tout ça", dit-il. Même s'il y a des réglementations, "il n'y a pas moyen de réguler cette industrie pour qu'elle devienne vraiment humaine", lui répond en écho Chelsie Schadt.

NYClass veut donc que les calèches soient remplacées par des copies de voiture du début du 20e siècle, électriques, qui offriront "le même sentiment de nostalgie". Les chevaux seraient eux envoyés dans des "sanctuaires", pour y couler des jours heureux. "Cela donnera du travail" aux personnes qui travaillent pour les calèches, dit Chelsie Schadt, estimant cette alternative "extrêmement équitable". Le premier prototype de cette voiture, estimé à 450.000 dollars, pourrait être prêt au printemps.

Le projet - qui devra être adopté par le conseil municipal mais n'est toujours pas à l'ordre du jour - prévoit la disparition des calèches sur trois ans, et la montée en puissance des voitures vintage sur la même durée.

Lequel enrage Christina Hansen, cochère et porte-parole de l'Association des calèches de New York (Horse and carriage Association). Elle dénonce une "étrange combinaison d'intérêts, entre l'immobilier et les défenseurs des animaux, qui ont dépensé beaucoup d'argent et de temps pour faire élire Bill de Blasio, parce qu'il a promis d'interdire les calèches".

"Les défenseurs des animaux pensent que tous ceux qui ont des animaux ont tort, et qu'ils ne doivent pas travailler", dit-elle, un oeil sur sa calèche garée près du Plaza hotel, à l'angle sud-est de Central Park.

"Pour ce qui est de l'immobilier, nos écuries sont dans l'ouest de Manhattan. Elles ont beaucoup de valeur", souligne-t-elle. "Et nous n'allons pas les vendre tant que nous avons nos chevaux".

Comme Conor McHugh, elle est déterminée à se battre. "Nous aimons les chevaux. Nos chevaux sont en bonne santé et heureux. Si ce projet devait être voté, nous irions devant la justice car ce n'est pas constitutionnel", dit-elle. "C'est New York, c'est Central Park, tout le monde connaît nos calèches. C'est comme si on se débarrassait de la Statue de la Liberté ou de l'Empire State building".

Sciences et avenir 6/3/2014

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New York, 24 avr 2014 (AFP) - Les opposants aux calèches de Central Park ont à nouveau manifesté jeudi à New York pour demander leur interdiction, après la chute d'un cheval sur un trottoir.

"Calèches = cruauté envers les animaux", "Tué au travail" pouvait-on lire sur les pancartes d'une trentaine de manifestants réunis en bordure du célèbre parc new-yorkais, à l'endroit même où les calèches attendent en général les touristes.

 Public/Public.fr - DR

"Peu importe la raison pour laquelle il est tombé, au milieu de la 59e rue, c'est inadmissible", a déclaré Allie Feldman, directrice de NY Class, un groupe de défense des animaux se battant pour cette interdiction promise par le maire de New York Bill de Blasio. Une touriste a raconté au groupe de défense des animaux PETA, qui participait à la manifestation, que le cheval avait paniqué après avoir été frôlé par un bus en fin d'après-midi mercredi.

Selon Christina Hansen, porte-parole de l'Association des calèches (Horse and carriage Association), qui a insisté sur le fait que le cheval allait bien, "il n'y avait pas de bus, pas de panique". Elle a expliqué sa chute par une roue arrière de sa calèche se prenant dans la roue d'une autre calèche. "C'était un incident mineur", a-t-elle ajouté. "C'est très choquant pour les gens de voir le cheval à terre, mais cela a duré deux trois minutes, le temps qu'on l'aide à se redresser en toute sécurité. J'étais sur place".

La guerre entre les opposants aux calèches et les cochers de Central Park dure depuis des mois. Durant sa campagne, le maire démocrate Bill de Blasio, entré en fonctions en janvier, s'était en effet engagé à mettre fin au plus tôt à cette attraction centenaire très prisée des touristes, évoquant un traitement "inhumain". Mercredi, l'ancien président français Nicolas Sarkozy est venu faire deux tours en calèche avec sa femme Carla Bruni et leur fille de 2 ans et demi, Giulia. "Un le matin, un l'après-midi", a déclaré à l'AFP Christina Hansen. "Parce que leur fille aimait tellement ça".

Fondation 30 millions d'amis

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New York, 1 déc 2014 (AFP) - La guerre des calèches a repris lundi à New York, avec l'annonce de l'introduction prochaine au conseil municipal d'un projet de loi visant à les supprimer.

Ces calèches qui promènent les touristes de Central Park depuis plus de 100 ans, sont dénoncées depuis des années par les défenseurs des animaux qui affirment que les chevaux sont malheureux dans la ville.

Avant même de prendre ses fonctions au début de l'année, le maire Bill de Blasio, soutenu dans sa campagne par le groupe de pression NYClass, opposé aux calèches, avait affirmé qu'il y mettrait fin "dans les premiers jours" de son mandat. "Nous pensons qu'il est temps de mettre un terme aux calèches dans le ville et nous allons agir en ce sens", a-t-il encore déclaré lundi, interrogé sur l'introduction du projet qui pourrait intervenir dès lundi prochain.

Ce projet prévoirait la disparition progressive des calèches d'ici 2016, avec des aides au reclassement pour les cochers, notamment s'ils veulent devenir chauffeur de taxi. Une fois introduit, le projet devra ensuite être examiné en commission, puis faire l'objet de plusieurs débats avant d'être éventuellement soumis à un vote, un processus qui pourrait prendre de longs mois.

Lundi, le syndicat local Teamsters qui soutient les 170 cochers à plein temps opérant les 68 calèches et 220 chevaux de Central Park a dénoncé "cette affreuse nouvelle pour les familles juste avant les fêtes", et s'est dit prêt au dialogue pour conserver les chevaux et cochers à Central Park. NYClass a, à l'inverse, salué une "bonne solution créative qui profite à tous les New Yorkais en ajoutant des emplois et met fin à une industrie dangereuse et inhumaine".


30 millions d'amis 1/12/2014

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