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Greenpeace dénonce : De grandes enseignes du textile polluent les eaux de Chine et ailleurs !

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De grandes enseignes du textile polluent les eaux de Chine


Après les révélations fracassantes au sujet des grandes industries du jouet comme Mattel qui contribuent grandement à la déforestation, Greenpeace dénonce plusieurs grandes enseignes du textile. Adidas, Nike, Lacoste ou encore H&M pollueraient les eaux des fleuves chinois.

Ce mercredi, l'association de défense de l'environnement Greenpeace a accusé les fournisseurs des fabricants Nike et Adidas, entre autres, d'empoisonner les fleuves chinois avec un rejet de produits chimiques toxiques pouvant notamment être à l'origine de problèmes hormonaux.

Selon zegreenweb, les prélèvements d’échantillons ont été effectués durant un an sur des eaux usées déchargées par les fabriques chinoises. Les activistes de Greenpeace ont ensuite fait le lien entre deux fabriques nationales et des grandes marques occidentales. Huit échantillons d'eau usée provenant des rejets de deux usines dans les deltas du Yangtze, le plus long fleuve chinois, et de la Rivière des perles contenaient un "cocktail de produits chimiques dangereux", a indiqué Greenpeace durant une conférence de presse à Hong Kong. Pourtant, ils fournissent de l'eau potable à près de 67 millions de personnes, selon l'association.

Des grands groupes tels que Nike, Adidas, Lacoste, H&M, Puma, Converse ou encore Calvin Klein apparaissent dans le rapport très justement intitulé "Linge Sale".

Eaux polluées, santé menacée

"Nos tests ont montré la présence de produits chimiques toxiques qui n'ont pas leur place dans l'environnement", a souligné Vivien Yau, responsable de l'association, cité par l'AFP.

Le rapport de Greenpeace informe que ces produits chimiques toxiques ont des répercussions sur le système endocrinien mais aussi le système immunitaire.

Les nonylphenols font partie des substances chimiques en question. Ils sont présents dans la chaîne alimentaire, à travers les poissons.

Au final, même si leur activité principale est la couture et non la teinture, ce qui est reproché à ces grandes marques c'est leurs liens avec ces entreprises nationales qui polluent.

Pourtant, les grands groupes occidentaux s'étaient engagés à ne pas utiliser ces substances polluantes.

"A notre connaissance, nous ne contribuons pas à la pollution du delta du Yangtze à travers nos usines partenaires", s'est défendu Nike dans un communiqué.

Greenpeace déplore ces résultats qui prouvent qu'au lieu de montrer l'exemple, ces grandes marques soutiennent des pratiques nuisibles à l'environnement.

La Chine est un des pays dont les eaux sont les plus polluées au monde avec 70% de ses rivières, lacs et réservoirs touchés.

.Maxisciences

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Selon zegreenweb, les prélèvements d’échantillons ont été effectués durant un an sur des eaux usées déchargées par les fabriques chinoises. Les activistes de Greenpeace ont ensuite fait le lien entre deux fabriques nationales et des grandes marques occidentales. Huit échantillons d'eau usée provenant des rejets de deux usines dans les deltas du Yangtze, le plus long fleuve chinois, et de la Rivière des perles contenaient un "cocktail de produits chimiques dangereux", a indiqué Greenpeace durant une conférence de presse à Hong Kong. Pourtant, ils fournissent de l'eau potable à près de 67 millions de personnes, selon l'association.

Réponse_____________________________________________________________________________________

Mais pourquoi le gouvernement Chinois, laisse-t-il faire tous ces grands groupes de textiles et ne les obligent-ils pas à suivre des normes de rejet d'eaux usées dans le fleuve:parce qu'il s'enrichit avec eux sur le dos du commun des mortels comme dab.

A+

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Fortes de leurs succès, de grandes marques internationales comme Nike ou Adidas (mais aussi Lacoste, la grande marque française également mise en cause dans le rapport de Greenpeace) travaillent avec des fournisseurs chinois qui polluent les rivières en rejetant des produits toxiques provoquant problèmes hormonaux ou cancers.


Pour que cela cesse, Greenpeace a lancé la campagne DETOX.

Le week-end du 23 juillet, plus de 600 militants de Greenpeaceont entamé un strip-tease devant des enseignes Adidas et Nike dans 29 villes, réparties entre 10 pays. La manifestation s’est déroulée entre autres villes à Paris, Amsterdam, Pékin et Bangkok.

Greenpeace met la vérité à nue, Puma bouge


Cette nuit, la bonne nouvelle est venue de Puma : la marque de sport allemande a en effet publié sur son site internet une prise de position forte dans laquelle elle s’engage à lutter contre l’utilisation et les rejets de produits toxiques dans sa chaîne de fabrication.

Ce signal, de la part de la 3ème marque d’équipement sportif du monde intervient moins de deux semaines après le lancement de la campagne DETOX, et montre encore une fois ce qui est possible lorsque les activistes et les consommateurs exigent plus d’une industrie.
La première manche du défi DETOX est donc remportée par Puma qui envoie un message on ne peut plus clair à ses concurrents : permettre aux fournisseurs l’utilisation et le rejet de substances chimiques dangereuses n’est tout simplement pas acceptable !

Nike et Adidas doivent réagir !


Voici le message envoyé aux présidents de Nike & Adidas : Si l’impossible n’est rien, alors il est temps d’œuvrer, avec vos fournisseurs et prestataires, pour éliminer les produits toxiques de vos chaînes de production ! Il est temps de prendre vos responsabilités, le monde a besoin d’un champion pour un avenir sans produits toxiques ! JUST DO IT !

Aidez nous, signez et diffusez cet appel !




.Greenpeace 26/07/2011

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Pousser un géant de la mode et du prêt à porter à changer sa manière de produire des vêtements est un vrai défi. Mais lorsque cette démarche est portée par des faits scientifiquement prouvés et supportée par la volonté des consommateurs, cela peut être un succès !

Hier, l’enseigne britannique Marks and Spencer, qui a fait son retour en France il y a près d’un an, s’est engagée à éliminer tout rejet de produit chimique dangereux dans sa chaîne de production et ses produits, d’ici 2020.

C’est une excellente nouvelle, et un succès pour l’ensemble des bureaux de Greenpeace dans le monde, qui depuis Juillet 2011 font campagne auprès des géants de l’industrie textile. Lire ou relire : Detox : ou comment nos marques de sport favorites polluent les eaux chinoises.

L’engagement pris par M&S (à lire sur leur site, en anglais) contient plusieurs signaux positifs. L’un des plus importants étant que la marque s’engage à cesser toute utilisation de Perfluorocarbure (PFC) et éliminer toute contamination de ses produits d’ici Juillet 2016 , reconnaissant que l’ensemble de cette famille de composés chimiques (qui est utilisé pour accroître l’imperméabilité et la résistance aux tâches des vêtements) est dangereuse.

En tant qu’utilisateur majeur de PFC aujourd’hui, Marks & Spencer prends ici une décision marquante pour lui même, mais aussi pour l’ensemble du secteur textiles et l’industrie chimique. Au delà des PFC, M&S s’est également engagé à éliminer Les alkylphénols, famille de composés pertubarteurs hormonaux dont certains sont interdits par l’UE.

En plus de cela, l’entreprise a promis de devenir plus transparente sur ​​ce que ses fournisseurs rejettent dans l’eau et commencer par publier des données de cinq de leurs fournisseurs chinois.

Il s’agit d’un projet pilote important, qu’ils doivent chercher à étendre à toutes leurs installations dans un proche avenir, car les personnes vivant à proximité des usines et les consommateurs des marques ont le droit de savoir ce qui est libéré dans l’eau.


M & S est aujourd’hui la septième enseigne à s’engager de manière crédible à nettoyer sa chaîne d’approvisionnement en en éliminant tous les rejets de substances chimiques dangereuses. Elle rejoint :

- Puma,
- Nike,
- Adidas,
- H & M,
- C & A et
- Li-Ning.

Il est nécessaire que plus de marques répondent à l’urgence de la situation, et prennent des mesures ambitieuses pour débarrasser nos précieuses ressources en eaux des produits chimiques toxiques.

La liste noire des 11 groupes chimiques dangereux que nous demandons aux marques d’éliminer n’est que le début.

Un véritable travail d’enquête approfondie doit être mené, sur le long terme, pour identifier, vérifier l’ensemble des produits chimiques utilisés par l’industrie textile, identifier ceux qui comportent un risque et leur trouver des alternatives sûres, pour l’environnement et la santé. C’est une tâche énorme, même avec un objectif à 2020.

Il faut agir maintenant, et rompre tout contrat avec des sous-traitants utilisant des nonylphenols et d’autres alkiphénols ou encore des PFC, reconnus pour leur rôle de perturbateurs endocriniens. Ces substances, relâchées dans l’eau, entrent en contact avec tout un écosystème, une chaîne alimentaire et si leurs quantités sont faibles, ces composants sont “persistants”, ils s’accumulent donc…

L’empoisonnement doit s’arrêter, car l’expression “Fashion Victim” est en train de prendre un sens effrayant !



GREENPEACE 25/10/2012

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RENNES - Un produit allergisant, le diméthylfumarate (DMF) --contenu dans des produits fabriqués en Chine-- est à nouveau au centre d'une affaire après qu'une petite fille de 4 ans eut été victime d'une forte réaction dans l'Orne, quatre ans après son interdiction en France.

Tout a commencé avec l'achat pour l'anniversaire de la fillette de vêtements dans un magasin local des alentours de L'Aigle début octobre, a dit le père de l'enfant à un correspondant de l'AFP.

Dès le lendemain de l'anniversaire, l'enfant a commencé à avoir des boutons, puis la situation a empiré dans les jours suivants, comme l'a révélé mercredi le journal local Le Réveil Normand. La petite fille se trouvait à l'école lorsque la réaction cutanée s'est accentuée, a précisé le maire de la commune Thierry Pinot qui a suivi l'affaire dans les premiers jours.

La fillette a alors été admise aux urgences à l'hôpital local de L'Aigle, puis à Lisieux, et enfin au CHU de Caen qui a identifié le produit, du DMF, comme étant à l'origine de l'allergie. Aujourd'hui, l'enfant qui a été traitée, n'a plus aucune séquelle.

En tant que maire, ma préoccupation première a été de traiter la petite correctement via les services hospitaliers et ensuite que la traçabilité de cette affaire soit prise en main par les services de l'Etat. Ce qui a été fait aussitôt. Ils ont bloqué le stock correspondant, a raconté M. Pinot. Tous ces matériaux ont été saisis, stockés, a-t-il affirmé.

En effet, l'affaire a été prise au sérieux et les gendarmes. La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) sont saisis d'une enquête.

Ce n'est pas la première fois que le DMF est mis en cause. En 2008, une série d'affaires liées à des vêtements, des chaussures, des canapés et fauteuils importés de Chine et contenant le produit litigieux avait défrayé la chronique.

Si le père de la fillette a préféré ne pas donner de suites judiciaires à l'affaire, il a en a informé la presse locale, alertant Le Réveil Normand et déclenchant ainsi une réaction médiatique en chaîne. Maintenant c'est une affaire d'Etat, a dit le père de l'enfant.

Les agents de la répression des fraudes vont procéder à des prélèvements et des analyses pour vérifier si le DMF est bien en cause. Le cas échéant, nous allons mettre en place des procédures de retrait de ces produits du marché français et prévenir nos collègues européens, a dit à l'AFP Marie Taillard, chargée de communication à la DGCCRF.

S'il devait se confirmer que c'est la robe qui est en cause, nous prendrons des mesures, le cas échéant pour retirer tous les lots de la vente, a dit de son côté, Benoît Hamon, ministre délégué à l'Economie sociale, chargé de la consommation, en marge d'un déplacement à Strasbourg. Il importe qu'aucun enfant ne puisse être exposé à ces lésions, a-t-il précisé.

Le DMF est contenu dans de petits sachets glissés dans le rembourrage des canapés et fauteuils, ou dans les chaussures, mais il a tendance à s'évaporer et à se transformer en gaz. L'effet est similaire à celui dont peuvent souffrir des personnes allergiques au nickel (bijoux, boutons de jeans ...): plaques rouges qui démangent.

Plusieurs cas de contamination par des fauteuils chinois ont été détectés en Finlande et au Royaume-Uni dès 2007. Des médecins, confrontés à cette occasion à des eczémas de contact importants ont publié un article scientifique sur le produit en juillet 2008 dans une revue spécialisée (British Journal of Dermatology). En France, les cas d'allergie à des fauteuils distribués par Conforama remontent à juin 2008.

La DGCCRF précise que le DMF est interdit en France et en Europe depuis 2008.


ROMANDIE.COM 8/11/2012

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PARIS (Sipa) -- Les résultats de l'enquête de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), saisie suite à la forte réaction cutanée d'une fillette de 4 ans habitant à L'Aigle (Orne) "ne seront probablement pas connus avant le début de semaine prochaine", a fait savoir à Sipa son service de communication vendredi, tout en précisant que les analyses en cours portaient "sur un t-shirt et une jupe", et pas sur une "robe" comme elle l'avait expliqué jeudi.

"La petite fille va bien", s'est une nouvelle fois félicité auprès de Sipa Thierry Pinot, le maire de cette commune de 8.000 habitants, confirmant qu'elle s'appelait Marie et qu'elle avait 4 ans, mais refusant toujours d'en dire davantage.

L'information de "graves lésions" et du "visage défiguré" d'une fillette suite au port de vêtements made in China, avait été révélée par le journal local Le Réveil normand mercredi et reprise par RTL.fr jeudi matin. Les médias avaient aussitôt pointé une allergie au diméthylfumarate, un puissant fongicide interdit en France depuis 2008 mais utilisé par l'industrie chinoise. La mère de l'enfant leur aurait confié qu'un spécialiste du CHU de Caen, où la petite fille a été transférée, avait identifié cette molécule.

"Il n'y a aucune confirmation qu'il s'agissait de cette molécule", a réagi vendredi le service de dermatologie du CHU de Caen, "harcelé de coups de fil depuis cette affaire". Au point de demander au ministère de la Santé de "faire quelque chose". L'Agence régionale de santé (ARS) va diffuser "un communiqué de presse prochainement", a fait savoir à Sipa l'attaché de presse du CHU.

"On ne sait rien là-dessus. Cette réaction cutanée est-elle d'ailleurs vraiment provoquée par des vêtements?", s'interroge pour sa part le Dr Alain Baert, le médecin responsable du centre antipoison et de toxicovigilance de Rennes, l'un des dix centres de l'Hexagone, joint vendredi par Sipa. "Cela peut être une réaction cutanée sans être une allergie. Comment être sûr qu'il s'agit du diméthylfumarate? Et pourquoi pas de la lessive? Il y a des agents allergisants dans les lessives", note-t-il.

"Il n'est pas impossible qu'il s'agisse d'une molécule très proche du diméthylfumarate, mais que ça n'en soit pas. (...) Vous savez, les Chinois sont de grands commerçants. Sachant que la molécule est interdite, ils ont très bien pu créer un produit avec des composés chimiques très proches qui ont les mêmes vertus" anti-moisissure, a-t-il poursuivi


ROMANDIE.COM 9/11/2012

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CAEN - La provenance chinoise du vêtement soupçonné d'avoir provoqué une grave allergie sur une fillette de 4 ans dans l'Orne n'est pas établie, a indiqué mardi la direction départementale de la protection de la population, cinq jours après la médiatisation de cette affaire.

Le père de la fillette avait affirmé que sa fille faisait une allergie à un vêtement fabriqué en Chine contenant du diméthylfumarate (DMF) interdit en Europe depuis 2008. Mais pour l'heure, on ne peut rien affirmer, a souligné Blandine Grimaldi, directrice départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations.

Le vêtement et le lot dont il faisait partie qui a été saisi en magasin ont des étiquettes made in France mais il faut attendre le résultat de l'enquête de traçabilité pour avoir confirmation de leur provenance, a-t-elle déclaré à l'AFP.

Par ailleurs, tant que les analyses ne sont pas disponibles, ni la présence de DMF dans le vêtement, ni même la toxicité du vêtement, ne sont établies, selon les services départementaux de l'Etat.

On espère avoir demain les résultats des analyses visant à savoir s'il y a un lien entre l'allergie et le vêtement et si celui-ci contient du diméthylfumarate (DMF), selon Mme Grimaldi.

Selon les déclarations du père de l'enfant à un correspondant de l'AFP, le vêtement de la fillette avait été acheté début octobre dans un magasin près de L'Aigle (Orne). L'enfant avait dû aller aux urgences quelques jours plus tard face à l'ampleur de sa réaction cutanée, selon la même source.

L'enfant a depuis été soigné et n'a plus rien, selon le père.


ROMANDIE.COM 13/11/2012

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La célèbre marque de jeans, Levi’s a (enfin) présenté des engagements pour entrer en Detox en éliminant le rejet des produits chimiques dangereux de sa chaîne de production d’ici 2020. C’est une belle réussite collective, résultat de la mobilisation rapide, réactive, créative du monde entier !

De plus en plus de grands acteurs de la mode esquissent un mouvement vers une mode sans toxiques. Levi’s, Zara, H&M et les marques de sport … La Detox gagne du terrain, grâce à la mobilisation des consommateurs ! Aujourd’hui plus que jamais, les marques restées en arrière doivent rejoindre le mouvement. Calvin Klein, Gap, ou Victoria’s Secret font partie de ces retardataires qui doivent s’affranchir de leur addiction aux produits toxiques.

Greenpeace continuera à mettre ces marques sous les feux des projecteurs, jusqu’à ce que l’usage et l’abus de produits dangereux soient totalement abolis !

Dans sa prise de position, Levi’s annonce qu’il demandera à ses fournisseurs (qui détiennent chacun de nombreuses usines) en Chine, au Mexique et ailleurs dans le monde, de publier leurs données en matière de pollution et ce, dès la fin Juin 2013. Cette demande sera étendue à 25 autres fournisseurs à fin 2013 … Les riverains qui vivent à proximité de ces usines auront enfin accès à ces informations cruciales sur les rejets qui les concernent.

Cette prise de position de Levi’s intervient au 8è jour de la campagne de mobilisation lancée par Greenpeace, basée sur un rapport présentant des résultats d’échantillons d’eau prélevés à la sortie des conduites d’évacuation de deux usines fournissant Levi’s au Mexique : Lavamex et Kaltex. En 8 jours, plus de 210 000 personnes ont rejoint le mouvement “Detox Levi’s”, interpellant la marque sur le net, et dans la rue.

Levi’s rejoint enfin le rang des leaders, en s’engageant à utiliser des produits alternatifs, non toxiques. Une date à marquer d’une pierre blanche pour la marque … Mais surtout et avant tout pour les populations concernées par ces pollutions !

Depuis 2011, 11 marques de mode populaires dans le monde entier se sont engagées à éliminer les rejets de produits chimiques dangereux de leurs chaînes de fabrication.















Greenpeace 13/12/2012

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Tout a commencé, avec la publication d’un nouveau rapport, qui met en lumière les connexions entre la marque Levi’s et des usines de confections responsables de rejets polluants dans les rivières mexicaines.

Alors que le rapport était relayé dans le monde entier, 17 militants ont déployé une banderole géante de 110 mètres de long représentant une gigantesque flèche pointant l’une des usines en cause.





Cette flèche pointée sur les responsables a lancé un large mouvement “Detox Levi’s” dans le monde entier, demandant à la marque de jeans d’agir concrètement et de manière responsable pour nettoyer sa chaîne de production.

De Copenhague à Vienne, des États-Unis à l’Espagne en passant, bien sûr, par Paris, et en allant jusqu’à Taipei, Toronto et Johannesburg ce sont plus de 700 militants, dans 80 villes, qui se sont mobilisés devant des LeviStore.



Qu’attend Levi’s ? Aidez-nous à les convaincre !


CLIQUEZ ICI pour Participer à l'action DETOX LEVI'S

Désolée de prendre ou vous faire prendre le "train en marche", mais mieux vaut tard que jamais !



Greenpeace 11/12/2012 (lire tout l'article)

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16. C’est le nombre de marques et de groupes textiles qui, depuis le lancement de la campagne Detox, se sont engagés à éliminer les substances chimiques dangereuses de leur production. Ces marques sont des noms de la mode grand public : Zara, Benetton … Sans le soutien des citoyen(ne)s de tous les pays et de toutes les origines, mobilisés d’un bout à l’autre de la planète, ces succès n’auraient pas été possibles…

Aujourd’hui Greenpeace poursuit le mouvement. En allant plus loin. Aujourd’hui, c’est le secteur du luxe que nous provoquons en duel.

Nous avons lancé un défi à 15 maisons de haute couture françaises et italiennes en leur envoyant notre gant en novembre dernier. Nous leur avons fait parvenir un kit complet, les invitant à se connecter à un site web spécialement conçu pour l’occasion et contenant un questionnaire.



Image Greenpeace


Ce questionnaire, en 25 étapes, concerne trois segments importants de leurs chaînes d’approvisionnement: le cuir, le papier d’emballage et leur production textile.




Pourquoi ? Parce que chaque jour, au Brésil et en Indonésie, les dernières forêts primaires sont coupées à blanc. L’habitat des derniers tigres de Sumatra est sacrifié au nom de la production de pâte à papier. La forêt amazonienne est détruite pour laisser place à l’élevage de bétail notamment pour le cuir. Pendant ce temps, en Chine ou au Mexique, des rivières et des lacs sont pollués et leurs poissons sont empoisonnés par les rejets des produits chimiques dangereux utilisés par l’industrie textile.

Nous nous sommes donc adressés à Armani, Louis Vuitton, Christian Dior, Salvatore Ferragamo, Roberto Cavalli, Alberta Ferretti, Chanel, Dolce & Gabbana, Hermès, Prada, Trussardi, Gucci, Versace, Valentino et Ermenegildo Zegna.

Lorsqu’il s’agit de marques légendaires comme Chanel, Prada et Dolce & Gabbana on s’attend à trouver le meilleur du meilleur. Mais à regarder de plus près le classement révélé par Greenpeace sur www.thefashionduel.com, on réalise que les plus chics sont aussi ceux qui s’intéressent le moins à la durabilité de leurs produits. Grosse déception!

Une seule maison de haute couture a relevé le défi avec succès : Valentino. La société s’est engagée à une politique Zéro Déforestation et à éliminer l’ensemble des substances chimiques dangereuses de sa chaîne de fabrication. D’autres, comme Ferragamo ou Louis Vuitton, se sont engagés partiellement. Nous voulons plus d’engagements. Nous voulons mieux.

Nous voulons convaincre chaque marque. Une par une. Nous le ferons en diffusant le plus largement possible ce classement, pour mettre les maisons de haute couture, si attachées à la discrétion, en pleine lumière.

Nous le ferons avec l’aide de l’actrice italienne Valeria Golino, qui s’est engagée dans une vidéo. Nous le ferons avec l’aide des militants, des internautes, des amoureux de la mode du monde entier… Nous voulons être nombreux à provoquer la mode en duel.

Joignez-vous à thefashionduel.com en remplissant le formulaire et aidez-nous à diffuser notre vidéo sur les réseaux sociaux.




La mode doit changer. Nous devons le lui dire ! Rejoignez-nous !





GREENPEACE 7/2/2013

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Ces derniers jours, New-York a fait parler d’elle… En raison de la plus grosse tempête de neige du siècle d’une part et du lancement de la “Fashion Week” d’autre part. Et c’est malgré la première et à l’occasion de la seconde que nous avons décidé d’envoyer une équipe d’envoyés spéciaux pour livrer un message à Chanel, Hermès, Prada et Dolce & Gabbana sur la très chic 5ème Avenue.



CLIQUEZ ICI pour voir le reportage photos
Ces marques sont les vieilles dames respectables de la haute couture, qui dictent les tendances et les styles. Mais ces marques ont un autre point commun : ce sont celles qui sont plus mal classées dans notre campagne Fashion Duel.

Chanel, Hermès, Prada et Dolce & Gabbana ont été cataloguées en “noir” dans le classement, car, malgré les demandes répétées de Greenpeace pendant de longues semaines, elles ont toutes refusé de répondre à nos questions et de fournir les informations nécessaires à leur évaluation. Ces marques ont refusé le dialogue, faisant sciemment le choix de l’opacité concernant leurs politiques environnementales.



Qu’ont-elles à cacher?
Au cours des deux derniers mois, nous avons expliqué très clairement à ces sociétés que sans politique sérieuse et contraignante en matière d’achat de papier, de cuir et d’usage de produits toxiques, leurs produits sont responsables de la destruction de l’environnement. Mais ces maisons de haute couture semblent vouloir garder la tête dans le sable…



La mode n’est tendance que si la planète n’en paie pas le prix.
Nous avons provoqué publiquement la mode en duel. En ligne et dans les rues…. L’étape New-Yorkaise n’est que le début de l’histoire.


Rendez vous sur le site fashionduel et bientôt, à nouveau, au cœur de l’univers de la haute couture !


Le classement, tel que connu à ce jour (12/2/2013). CLIQUEZ ICI pour suivre son évolution


Pour en savoir plus à propos du classement : CLIQUEZ ICI



GREENPEACE 12/2/3013

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Des militants écologistes ont organisé des manifestations hautes en couleur au cours des deux premiers jours de la "semaine de la mode" de Milan. Ils entendaient ainsi protester contre l'utilisation de produits chimiques toxiques et de fourrures dans le prêt-à-porter des couturiers.

Jeudi, une militante a tenté d'interrompre le défilé de Just Cavalli, la ligne de prêt-à-porter de Roberto Cavalli, en s'approchant de la passerelle avec une banderole où était écrit "Votre mode, leur mort!"

Mercredi, Greenpeace a déroulé une banderole verte de douze mètres de long, en forme de gant, sur les murs du château des Sforza, l'un des hauts lieux touristiques de Milan.

L'organisation écologique demande aux fabricants d'articles de luxe de donner des précisions sur leurs procédés de fabrication et de s'engager à préserver la forêt et les ressources en eau de l'Amazonie.


ROMANDIE 22/2/2013

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Berne (awp/ats) - De nouvelles analyses de Greenpeace démontrent que d'autres vestes pour enfants de la marque "Trevolution" de Migros contiennent des substances toxiques. Le grand distributeur avait déjà retiré un modèle de la vente mi-février suite à une première étude de l'organisation environnementale.

La concentration en substances nocives dépasse jusqu'à 600 fois la valeur limite légale pour les jouets et articles pour bébés, souligne mardi Greenpeace dans un communiqué. Ces éléments dangereux pour la santé sont des phtalates, nonylphénoléthoxylates (NPE) et produits chimiques polyfluorés (PFC).

La teneur en phtalates trouvée dans les pendentifs de fermeture éclair serait particulièrement élevée. "Or les enfants les mettent volontiers à la bouche", ajoute l'organisation, qui exige que le géant orange interdise immédiatement tous les produits chimiques dangereux dans ses produits et sa chaîne de production.

Migros avait retiré en février une veste de pluie de "Trevolution". Les trois autres vestes de la marque récemment examinées, pour lesquelles Greenpeace indique avoir relevé des valeurs toxiques dix fois plus élevées, "ont été mises en rayon en même temps que la première analysée", assure Peter Naef, porte-parole de Migros, contacté par l'ats.

Malgré les conclusions de Greenpeace, le grand distributeur souhaite écouler ces articles: "notre interdiction de produits chimiques dangereux date de 2012, alors que les vestes analysées ont été produites auparavant, en 2011", poursuit M. Naef. Un nouveau retrait pourrait toutefois avoir lieu, selon le résultat des analyses des chimistes de Migros et les décisions ultérieures.

Migros a promis de produire tous les textiles de ses propres marques de manière écologique et durable d'ici à 2017. Le géant orange refuse pourtant de participer au mouvement "Detox" de Greenpeace, qui milite pour une production sans toxiques, auquel se sont ralliés jusqu'à présent 17 entreprises, dont des leaders mondiaux de la vente au détail tels que H&M, Zara ou C&A.

"Migros a son propre chemin", assure Peter Naef. Sa norme Eco "n'est pas suffisante" et "très lacunaire", juge l'organisation environnementale. "Les substances toxiques trouvées dans les vestes d'enfant prouvent que Migros ne maîtrise pas la production de ses textiles", ajoute Mirjam Kopp, chargée de campagne "Detox" chez Greenpeace Suisse, citée dans le communiqué.


ROMANDIE 26/3/2013

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Rancaekek (Indonésie) (AFP) - Des mannequins en robes de marque et masques à gaz ont défilé dans le centre de l'Indonésie sur un podium érigé au-dessus d'une rizière et de l'eau de couleur noire jonchée de déchets, pour dénoncer le rôle de l'industrie textile dans la pollution.

Dans leurs bottes en caoutchouc, les jeunes femmes ont effectué des aller-retours sur des planches en bois devant une immense inscription en tiges d'herbe "Désintox", et exhibé des pancartes avec le slogan "Dites non à la mode avec des produits toxiques", a constaté un journaliste de l'AFP.

 caeta caedut 29/3/2015



Sciences et avenir 31/3/2015

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