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Des milliers de signatures pour sauver une vache échappée d'un abattoir

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Ils veulent sauver une vache. Des milliers d'internautes ont signé une pétition pour empêcher qu'un bovin échappé d'un abattoir y soit reconduit, selon Le Progrès, lundi 8 juin.

 La pauvre vache anesthésiée... Photo DR / Le Progrès

Tout a commencé le 2 juin. Une vache refuse de se laisser mener à l'abattoir, à Saint-Romain-de-Popey, dans le Rhône. Elle se rebelle, rue, crée des dommages dans l'étable, parvient à s'enfuir et se réfugie dans l'enceinte d'une entreprise voisine, selon Lyon Mag. Il faut cinq injections pour la tranquilliser. Au lendemain de l'incident, Le Progrès titre sur cette "vache (qui) crée à la panique en bord de RN7".

En attendant, l'animal bénéficie d'un petit sursis. Le produit injecté empêche sa consommation avant au moins 30 jours. De plus, à des centaines de kilomètres de là, à Sambreville, en Belgique, Jasmine Cerfontaine s'émeut du sort de la vache rebelle menacée de finir en beefsteack. Elle se mobilise et lance une pétition.

"Signons, signons, car elle a le mérite d'avoir osé sauver sa peau...", estime l'auteure de la pétition. Deux jours après avoir été lancée, elle enregistre plus de 11 000 signatures.


----->J'ai voulu signer la pétition, mais impossible, il y a une erreur de serveur apparemment... Le site demande de réessayer plus tard, ce que j'ai fait à plusieurs reprises sans succès, je retenterai demain ! 


----->Ca y est : j'ai pu signer ce matin ! (9/6) PLUS DE 16.000 SIGNATURES

Francetv info 8/6/2015

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Le 2 juin, à Saint-Romain-de-Popey (Rhône), la rebelle a réussi à s'échapper de l'abattoir. Une pétition sur internet a été lancée pour sauver l'animal.

Elle a le goût de vivre et elle a sauvé – pour l'instant – sa peau de vache. Marguerite, une génisse que son propriétaire conduisait à l'abattoir à Saint-Romain-de-Popey (Rhône), a réussi à s'échapper, mardi 2 juin, en renversant une barrière. Elle a ensuite défoncé un grillage et s'est ruée dans la cour d'une entreprise de charpente. Pour la calmer, on lui a injecté cinq doses de tranquillisant.



"Elle était un peu affolée, stressée, elle grattait par terre, on voyait bien qu'elle n'était pas tranquille", raconte un employé de l'entreprise de charpente. Aujourd'hui, l'animal bénéficie d'un petit sursis. Le produit injecté empêche en effet sa consommation avant au moins 30 jours.

Alors pour sauver la petite vache de la mort, une pétition a été lancée samedi 6 juin et comptabilise déjà plus de 21 000 signatures mercredi 10 juin. La vache a regagné son étable, mais son propriétaire demande un montant de 10 000 euros pour la céder.

De son côté, Brigitte Bardot a fait savoir ce mardi matin à Lyon Capitale qu'elle ferait tout son possible pour recueillir la vache qui s'est enfuie de l'abattoir de Saint-Romain-de-Popey la semaine dernière : Brigitte Bardot, a fait contacter la rédaction de Lyon Capitale mardi matin. Elle souhaitait obtenir les coordonnées du propriétaire de la vache qui s'est enfuie la semaine dernière de l'abattoir de Saint-Romain-de-Popey. Profondément touchée par cette histoire qui l'a "particulièrement émue", Brigitte Bardot assure vouloir "tout faire pour récupérer" l'animal.



Francetv info 10/6/2015 - Lyon Capitale

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Un accord a été passé entre le propriétaire de la petite vache et une association qui s’est portée acquéreuse pour 10 000 euros.

Rien n'est encore signé, mais un accord a été passé entre l'association Stéphane Lamart de défense des animaux et le propriétaire de la vache qui défraye la chronique après son évasion de l'abattoir de Saint-Romain-de-Popey, la semaine dernière.

La transaction est pour le moins juteuse, puisque l'animal serait cédé contre 10 000 euros, comme le précise l'association qui s'est portée acquéreuse. Un prix élevé qui équivaut à celui d'un animal de concours, mais qui n'a pas été décidé au hasard, comme l'explique le propriétaire de la jeune vache issue d'un croisement salers-charolais, dans les colonnes du Progrès : "J'ai dit que j'en voulais un euro par signature, et comme il y en avait 10 000 à ce moment-là, ça faisait 10 000 euros (…) Je n'ai qu'une seule parole et je l'ai donnée à Stéphane Lamart

Je ne veux pas faire de la surenchère et, si nous ne concluons pas avec cette association, je garderai ma vache pour lui faire faire un veau par exemple".

Si le caractère bien trempé de la génisse lui a sauvé la vie, il complique également sa reconversion. Revêche et caractérielle, il aurait été impossible d'en faire un animal de ferme pédagogique, par exemple. Seule solution, lui trouver un pré où paître.

La direction des services vétérinaires doit encore vérifier que l'association est apte à accueillir un tel animal avant que la transaction ne soit finalisée.


Lyon Capitale 11/6/2015

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"La petite vache qui ne voulait pas mourir !", tel est le nom de la pétition qui a été lancée et qui connait un franc succès. Une association s'est dite prête à dépenser 10 000 euros pour racheter cette vache rebelle, ce jeudi 11 juin

C’est l'histoire d'une miraculée. Lorsque son propriétaire la dépose dans un abattoir du Rhône au début du mois de juin, elle s'échappe et va se réfugier dans la cour d'un vétérinaire. Il faudra plusieurs gendarmes et un vétérinaire muni de fléchettes hypodermiques pour la maîtriser. Impropre à la consommation tant que l'injection n'est pas diluée, la vache a gagné cinq semaines de sursis



Entre temps, les réseaux sociaux s'enflamment. En Belgique une jeune femme a lancé une pétition pour la sauver. Elle a recueilli plus de 20 000 signatures en quelques jours (aujourd'hui plus de 29.000 signatures sont comptabilisées).

"Tout le monde s'est un peu ému de cette vache qui était dans le couloir de la mort à l'abattoir et qui s'est rebellée, qui s'est sauvée. On s'est dit que puisque le destin lui avait donné une seconde chance, on allait essayer de lui donner une seconde vie", témoigne à France 2 Jasmine Cerfontaine, auteure de la pétition. 

La star qui ne voulait pas mourir attend désormais d'être fixée sur son sort.


Francetv info 11/6/2015

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Son histoire avait ému associations et particuliers, qui s'étaient mobilisés sur les réseaux sociaux. "Marguerite", la vache échappée d'un abattoir, va pouvoir tranquillement finir ses jours entourée d'autres congénères.

"C'est un beau bébé de 3 ans et de 600 kilos, heureux d'aller rejoindre ses copines à la ferme", plaisante, aujourd'hui, son sauveur. Soulagement : Marguerite, "la vache qui ne voulait pas mourir", ne finira pas en beefsteak et s'apprête même à rejoindre son nouveau lieu de vie, dans le Loir-et-Cher, explique l'association qui lui a porté secours, jeudi 25 juin.

Depuis sa courageuse évasion d'un abattoir, le 2 juin dernier, le jeune bovin de Saint-Romain-de-Popey (Rhône) a vu son histoire faire le tour des réseaux sociaux, mobilisant associations et particuliers. Baptisée Marguerite par les internautes, en hommage au film La Vache et le Prisonnier d'Henri Verneuil, la vache rebelle, qui est en réalité un bœuf, doit son salut à une pétition lancée de Belgique. En vingt jours, elle récolte près de 30 000 signatures.

Alertée par cette mobilisation, l'association Stéphane Lamart, qui défend les droits des animaux, lance un appel aux dons et recueille des fonds du monde entier pour racheter le bœuf à son éleveur, non sans difficultés. "Il a surfé sur la vague médiatique et demandait 10 000 euros, trois fois plus que sa valeur", raconte Stéphane Lamart, le fondateur de l'association, joint par francetv info. Après quelques jours de négociations, il réussit à convaincre l'éleveur de céder son animal pour 5 500 euros.

"Nous allons la chercher chez son propriétaire le 2 juillet pour la transférer dans une ferme pédagogique. C'est un véritable soulagement", se réjouit Stéphane Lamart, qui s'étonne encore de la mobilisation. Pour l'occasion, il a loué une bétaillère et viendra accompagné de la chanteuse Stone, qui milite, elle aussi, pour la défense des animaux. Marguerite sera alors renommée "Vegan", en référence au mode de vie qui consiste à ne consommer aucun produit issu des animaux.

Vegan rejoindra donc bientôt sa destinée champêtre, dans une ferme pédagogique du Loir-et-Cher. Mais Stéphane refuse de donner plus de précisions sur le lieu. "Nous sauvons de nombreux animaux et les transférons dans cette ferme. Nous ne voulons pas que certains propriétaires tentent de venir les reprendre". Mais pas d'inquiétude, le jeune bovin ne se sentira pas seul. Il sera entouré de "plus de 300 animaux, de vaches, et même d'un buffle", et recevra de nombreuses visites, "des enfants, des familles qui viennent tous les jours dans la ferme admirer les animaux".


Francetv info 25/6/2015

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Cornette va pouvoir couler une retraite paisible. Cette vache s'était échappée d'un abattoir près d'Ambert (Puy-de-Dôme) le 30 juin. Son évasion avait suscité un élan de solidarité sur internet. La génisse a finalement été rachetée à son propriétaire par une association de défense des animaux. Dimanche 16 août, elle sera installée dans une ferme pédagogique à Montmagny (Val d'Oise).

La ruminante avait saccagé une partie de l'abattoir, réussissant finalement à sortir, avant de mobiliser plusieurs gendarmes pour gérer la panique. Elle s'était réfugiée dans le parc des urgences de l'hôpital d'Ambert. Et comme elle avait dû être maîtrisée à l'aide de tranquillisants, elle avait obtenu de ne pas retourner à l'abattoir, sa viande étant devenue impropre à la consommation.

 Association Stephane Lamart Cliquez sur l'image pour vous rendre directement sur les photos de la page Facebook de l'association concernant Cornette et les réactions suite à ce sauvetage éponyme, ou sur le logo pour aller sur la page facebook générale de l'association.

Stéphane Lamart, le président de l'association éponyme, ainsi que la chanteuse Stone, ex-membre du duo Stone et Charden, porte-parole de l'association, "ont été sensibles à la détresse de cet animal". "On a décidé de la racheter pour lui sauver a vie et pour qu'elle vive heureuse", confie samedi Stéphane Lamart.

"Cette vache est un symbole, elle démontre que les animaux ont bien des émotions, une conscience et ressentent le stress, l'odeur de la mort. On voulait vraiment lui donner une seconde vie", déclare-t-il. "On a racheté Cornette 1 500 euros à son propriétaire et nous lui avons donné 500 euros supplémentaires pour qu'il la transporte en Région parisienne", précise-t-il. Cornette attend un veau qui, comme sa mère, sera désormais assuré de ne finir dans une assiette.



Francetv info 15/8/2015

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