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Ensemble, finissons-en avec la famine, et ses causes !

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Ensemble, finissons-en avec la famine, et ses causes !



Vous avez certainement vu des images effrayantes des gens mourant de faim dans la Corne de l’Afrique à la télévision. Nous nous demandons tous comment cela peut arriver une nouvelle fois ?

La Somalie, le Kenya et l’Ethiopie font face à l’une des pires sécheresses depuis 60 ans, et près de 10 millions de personnes ont désespérément besoin de nourriture, d’eau potable et de services sanitaires.

Malgré l’urgence de la situation, la plupart des dirigeants du monde réagissent trop lentement. Une intervention immédiate est nécessaire. Mais en même temps, nous ne devons pas négliger les solutions pérennes, comme cela a trop souvent été le cas dans le passé.
Signez notre pétition et faites entendre votre voix pour faire la différence.

http://act.one.org/go/13?akid=2297.2265967.AY-ksf&t=3


Le texte de la pétition est le suivant :




Appel aux dirigeants du monde :

Nous vous invitons urgemment à fournir les fonds nécessaires recensés par l’ONU pour répondre aux besoins des habitants de la Corne de l’Afrique, et surtout, à respecter vos promesses permettant la mise en œuvre de solutions pérennes qui pourraient empêcher que de telles crises ne se reproduisent.

Certaines personnes repensent aux précédentes sécheresses et se demandent si les choses vont réellement changer un jour. Nous aimerions leur dire que grâce à l’aide intelligente qui soutient le leadership africain, de réels progrès ont été réalisés. Par exemple, aujourd’hui, 87% de la population mondiale a de quoi manger à sa faim et vivre sainement (contre à peine 76% en 1970).

En Ethiopie, le nombre de personnes sous-alimentées a baissé, passant de 71% en 1992 à 46% aujourd’hui. Mais nous pouvons changer la donne encore plus : nous pouvons contribuer à mettre fin à la famine et ses causes. Pour cela, nous devons, tout d’abord, nous assurer que les financements nécessaires pour une aide urgente soient délivrés pour empêcher les gens de mourir.

Aussi, les dirigeants du monde doivent tenir leur promesse d’investir dans des solutions plus pérennes. Ainsi, les habitants de la Corne de l’Afrique pourront se nourrir et manger à leur faim, et ils n’auront plus besoin d’aide alimentaire à l’avenir.

Merci de nous aider à inciter nos gouvernements à sauver des millions de vies, aujourd’hui et demain.
Vous pouvez signer la pétition ici :

http://act.one.org/go/13?akid=2297.2265967.AY-ksf&t=5



Merci encore de votre soutien !
Sara Kianpour

.Source One.org

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Plusieurs associations ont lancé des appels aux dons pour soutenir le peuple africain victime de la sécheresse sans précédent depuis 60 ans et la famine que cette situation entraîne... 1 enfant sur 2 meurt à cause de ces calamités... La famine ne devrait plus exister de nos jours, nulle part sur cette terre...

Croix Rouge française


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L'ONU appelle à la mobilisation internationale pour lutter contre la famine en Somalie


Les Nations unies ont officiellement déclaré l'état de famine dans deux régions du sud de la Somalie. Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a lancé un appel à la communauté internationale afin qu'une aide financière soit débloquée immédiatement pour ce pays.

Selon l'ONU, des dizaines de milliers de personnes auraient succombé à la malnutrition en raison de la grave sécheresse qui a frappé l'Afrique orientale ces derniers mois.

Mercredi, M. Ban a déclaré devant la presse, au siège de l'ONU, à New York, que la moitié de la population somalienne, soit 3 millions 700 mille personnes, étaient menacées par la famine dont les effets de plus en plus dévastateurs commencent à s'étendre également dans les pays voisins.

Selon le Programme alimentaire mondial, la situation est d'une telle gravité qu'elle exige le niveau d'action le plus élevé.

Le chef de l'ONU a indiqué lors d'une réunion du Conseil de Sécurité mercredi que ces sécheresses exceptionnelles pourraient être liées au changement climatique.

Il a ajouté que les différentes nations devaient se mettre d'accord sur un nouveau cadre pour remplacer le protocole de Kyoto lors de la prochaine conférence sur le climat à l'ONU, prévue en novembre, en Afrique du Sud. Le protocole de Kyoto viendra à échéance l'année prochaine.


.21/07/2011

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Sur le site internet du PAM, une vidéo montre des enfants touchés par la famine

.Cliquez ICI pour voir le site du PAM



Le Programme alimentaire mondial, le PAM, a mis en ligne sur son site internet un enregistrement vidéo montrant des personnes qui auraient fui la Somalie, le pays le plus touché par la famine qui sévit dans la corne de l'Afrique.

Cette vidéo, qui témoigne de la gravité de la crise alimentaire, a été postée sur le site internet du PAM mercredi.

Les personnes filmées auraient quitté le sud de la Somalie, touché par la sécheresse, pour rejoindre le Kenya voisin.

L'enregistrement montre un enfant, dangereusement amaigri par la malnutrition, en train d'être nourri par une sonde d'alimentation nasale. On y voit également des adultes et des enfants arrivant dans un camp de réfugiés.

Selon les Nations unies, la sécheresse qui touche actuellement l'Afrique de l'est, et donc la Somalie, est d'une gravité inédite depuis plusieurs décennies.

Des dizaines de milliers de personnes seraient décédées de malnutrition et environ 11 millions d'autres auraient besoin d'aide.

L'ONU demande à ses membres un soutien financier urgent alors que la moitié seulement des fonds nécessaires ont été réunis jusqu'à présent.


NHK 21/07/2011

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Le Programme alimentaire mondial (PAM), une agence spécialisée de l'ONU, a annoncé jeudi le lancement "dans les prochains jours d'un pont aérien" pour fournir une aide alimentaire spéciale aux enfants de la capitale somalienne Mogadiscio "qui en ont un besoin désespéré".

"La situation en Somalie est critique", a ajouté dans le communiqué la directrice du PAM, Josette Sheridan, qui se trouve en visite en Somalie, rappelant que son agence nourrit à l'heure actuelle déjà 1,5 million de personnes dans ce pays touché par la sécheresse, la famine et les combats.

"Le PAM salue la déclaration de ceux qui contrôlent les régions du sud de la Somalie affirmant que l'aide humanitaire sera désormais autorisée dans ces zones du pays", poursuit le communiqué en allusion aux propos des insurgés islamistes shebab qui contrôlent les zones frappées par la famine et qui ont salué mercredi la proclamation officielle par l'ONU de l'état de famine dans ces régions, se disant prêts à accepter une aide d'urgence à la population.

"Nous vérifions sur le terrain pour voir quelle est la meilleure manière pour acheminer le plus rapidement possible l'aide qui peut sauver la vie à ceux qui se trouvent dans l'épicentre de la famine, dans le sud", ajoute le communiqué.

"Nous aidons 1,5 million de personnes actuellement en Somalie et le PAM grimpe en régime pour aider 2,2 millions de personnes supplémentaires dans le sud du pays auparavant inaccessibles", poursuit l'agence onusienne.

La Somalie, où sévissent des combats permanents, subit de plein fouet la gravissime sécheresse qui frappe la Corne de l'Afrique. Selon l'ONU, deux régions du sud du pays, -le sud de celle de Bakool, et celle de Lower Shabelle- contrôlées par les islamistes shebab sont frappées de famine et la situation risque de s'aggraver si la communauté internationale n'agit pas rapidement.


l'Asacle.fr 21/07/2011

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14 juillet 2011 - L'agence de l'ONU pour la lutte contre la faim, le PAM, envisage un retour dans les territoires de Somalie sous contrôle des islamistes shebabs, qui avaient contraint la plupart des humanitaires à partir il y a deux ans mais qui les rappellent désormais pour aider les millions de victimes d'une gravissime sécheresse.

Le programme alimentaire mondial «travaille avec le coordonnateur humanitaire des Nations unies pour étudier toutes les possibilités de revenir — si les conditions le permettent et si toutes les autorisations des Nations unies sont données en matière de sécurité», a-t-il indiqué hier dans un communiqué.

«Le PAM consultera aussi les gouvernements donateurs pour s'assurer qu'ils acceptent les complexités et le risque liés à une reprise des opérations humanitaires», a-t-il poursuivi.

Photo Agence Reuters Omar Faruk
Des habitants de Mogadiscio, la capitale somalienne, ont fait main basse hier sur des produits pour enfants de l’UNICEF.

Organisations non gouvernementales et agences des Nations unies ont multiplié les appels à la mobilisation ces derniers jours pour venir en aide aux millions d'habitants d'Afrique de l'Est (Somalie, Éthiopie, Djibouti, Kenya) frappés par ce qui est peut-être la pire sécheresse des dernières décennies.

En Somalie, la situation est encore aggravée par un état de guerre civile permanent depuis le départ du président Mohamed Siad Barre en 1991.

Selon l'Union africaine (UA), près de trois millions de personnes, soit un tiers de la population, y a besoin d'aide humanitaire. Le Haut Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR) estime, lui, que dans le seul mois de juin, 54 000 Somaliens ont fui leur pays en raison de la sécheresse et des violences. Et pour le Comité international de la Croix-Rouge, le niveau de malnutrition sévère des enfants a presque doublé depuis mars dans le pays, devenant le plus élevé au monde.

Alors que les shebabs avaient poussé au départ, dès 2009, la plupart des organisations humanitaires, le PAM avait attendu début 2010 pour quitter les zones sous leur contrôle. Il rappelle être parti en raison des «menaces pour la vie» de ses équipes et de «l'imposition de conditions de travail inacceptables, notamment l'imposition de taxes informelles et l'exigence qu'aucune femme ne travaille pour nous là-bas».

Le mouvement islamiste a promis la semaine dernière de laisser les mouvements humanitaires accéder de nouveau aux populations frappées par la sécheresse, «qu'ils soient ou non musulmans [...], si leur intention est seulement d'aider ceux qui souffrent». Dans la foulée, Médecins sans frontières (MSF) a déjà dit espérer développer ses activités dans le sud de la Somalie.

MSF a toujours maintenu des activités dans les zones contrôlées par les insurgés, mais avec des restrictions en matière d'approvisionnement et de personnel d'assistance que son responsable opérationel, Joe Belliveau, espère désormais voir lever.

Les humanitaires, et la communauté internationale plus généralement, avancent toutefois avec prudence. Aux États-Unis, la semaine dernière, un haut responsable de la diplomatie américaine a estimé qu'il revenait aux pays donateurs et à la communauté internationale de «tester [la] réelle volonté [des shebabs] de permettre aux gens mourant de faim de recevoir une aide humanitaire».

«L'arrogance avec laquelle les shebabs ont refusé l'aide humanitaire disparaît devant le besoin», a estimé lundi le vice-ministre italien des Affaires étrangères, Alfredo Mantica, au retour d'un déplacement à Mogadiscio.

Il a ajouté qu'une reprise du dialogue, limitée aux questions liées à la sécheresse, serait peut-être désormais possible avec ceux du mouvement qui n'ont pas seulement un «programme islamiste, mais aussi un programme national».

----> Comme le suggère cette photo... la redistribution des aides n'est pas organisée... Cela ressemble à une foire d'empoigne !

.Le devoir.com 24/07/2011

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L'instabilité en Somalie pourrait entraver l'aide alimentaire





Alors que la Somalie est confrontée à la sécheresse et à la famine, l'instabilité politique pourrait entraver les opérations d'aide alimentaire organisées par l'ONU.

Le Programme alimentaire mondial, le PAM, a annoncé jeudi qu'il commencerait dans les jours qui viennent à acheminer des vivres par voie aérienne vers la capitale Mogadiscio. Cette annonce intervient au lendemain de la déclaration par l'ONU de l'état de famine dans deux régions du sud du pays.

Le PAM souhaite fournir de la nourriture à 2,2 millions de personnes, principalement dans le sud. Les militants islamistes qui contrôlent la majeur partie de cette région du pays ont déclaré récemment qu'ils accepteraient l'aide internationale. Ils avaient pendant un temps opposé leur refus.

Jeudi, toujours, la nouvellement nommée ministre des Femmes et des affaires familiales de Somalie aurait été enlevée par des extrémistes islamistes.

Dans le même temps, le gouvernement du Kenya voisin a fait part de ses inquiétudes, craignant que la stabilité sur son sol puisse être menacée si l'afflux de réfugiés en provenance de Somalie se poursuit.



NHK 22/07/2011

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Le Japon donne 5 millions de dollars au Programme alimentaire mondial


Le ministre japonais des Affaires étrangères Takeaki Matsumoto a déclaré que la famine qui sévit actuellement en Afrique orientale est la plus grave depuis plusieurs années et qu'elle a provoqué une catastrophe humanitaire.

Il a indiqué devant la presse que le Japon donnerait 5 millions de dollars d'aide d'urgence, conformément à sa promesse, dans le cadre de sa coopération au Programme alimentaire mondial.


.NHK 26/07/2011

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La pire sécheresse depuis 60 ans menace actuellement la vie de 10 millions de personnes dans la Corne de l'Afrique. Le bétail a déjà succombé, les récoltes sont inexistantes, les populations affectées manquent cruellement d'eau et de nourriture.

En Somalie, 1 enfant sur 3 souffre déjà de malnutrition aigue.


Il FAUT AGIR AUJOURD'HUI



Nos équipes au Nord du Kenya et en Somalie sont déjà mobilisées pour secourir les populations en danger. Nous devons acheminer de l'eau potable par camion citerne et distribuer des rations alimentaires. Face à l'ampleur et l'urgence des besoins, il nous faut faire vite !

« Tous nos fonds d'urgence ont déjà été utilisés », nous indique Philippe.C. notre coordinateur des programmes Kenya / Somalie. Aujourd'hui nous comptons sur une mobilisation exceptionnelle des internautes pour nous aider à réagir face à cette crise dramatique.

Si vous faîtes un don de 78 €, nous pourrons porter secours à 2 famille, en fournissant en urgence de l'eau potable et de la nourriture pour 4 semaines. Et 78 €, avec la déduction fiscale, ce n'est que 19,50 € pour vous. >> Faire un don maintenant

Nous espérons que vous comprenez à quel point votre don est important. Un grand merci pour votre générosité.

L'équipe de SOLIDARITES INTERNATIONAL


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La famine risque de s'entendre en Afrique de l'Est, dit l'ONU


Les Nations unies ont lancé un appel à une aide humanitaire d'urgence pour l'Afrique de l'Est où les régions accablées par la famine pourraient prochainement tripler.

Des millions de personnes en Somalie, en Ethiopie et au Kenya luttent contre la plus grave sécheresse connue jusqu'ici. Le mois dernier, l'ONU déclarait l'état de famine dans deux régions du sud de la Somalie, où un tiers des enfants souffrent de malnutrition.

Valérie Amos, la secrétaire générale adjointe des Nations unies, a déclaré lundi à la presse que près de 12 millions 400 mille personnes ont un besoin extrême d'assistance et que la situation se détériore. S'il n'y a pas une augmentation massive de l'assistance, la famine pourrait s'étendre à 7 ou 8 régions, a-t-elle prévenu.

A Mogadiscio, la capitale de la Somalie, des femmes et des enfants faisaient la file lundi dans un camp de réfugiés pour recevoir de la nourriture, alors que commençait le ramadan, le mois de jeune des musulmans.


nhk 02/08/2011

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L'ONU signale 3 nouvelles régions frappées par la famine en Somalie

Les Nations unies signalent une situation de famine dans trois nouvelles régions de la Somalie, l'Afrique de l'Est subissant l'une des pires sécheresses de l'histoire.

Mercredi, l'ONU a annoncé que 3 nouvelles zones du sud de la Somalie, dont la capitale Mogadiscio, étaient frappées par la famine. Fin juillet, les Nations unies avaient déjà signalé une situation identique dans deux autres régions méridionales.

Cette famine pourrait s'étendre à tout le sud de la Corne africaine, dans les 4 à 6 semaines.

L'ONU réclame donc une aide humanitaire de la communauté internationale en faveur de la Somalie, où sont menacées les vies de 3,7 millions de personnes, soit près de la moitié de la population.

Toutefois, l'acheminement des vivres s'avère problèmatique en raison du rejet de l'aide internationale par les extrémistes islamistes qui contrôlent le sud du pays.

Selon les Nations unies, l'état de famine est décrété lorsque la mortalité, la malnutrition et la faim se conjuguent pour atteindre un niveau critique, ou lorsque la situation est telle que 20 pour cent des foyers au minimum sont confrontées à de fortes pénuries alimentaires dans une région donnée.

NHK 04/08/2011

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La famine aurait tué près de 30 000 enfants en Somalie



Selon le gouvernement des Etats-Unis, la sécheresse et la famine qui touchent le sud de la Somalie auraient tué près de 30 000 enfants au cours des 90 derniers jours.

Une responsable de l'Agence des Etats-Unis pour le développement international a annoncé ces chiffres mercredi devant une commission du congrès.

Selon son témoignage, dans le seul sud somalien, la pénurie extrême de denrées alimentaires provoquée par la sécheresse aurait causé en trois mois la mort de plus de 29 000 enfants âgés de moins de cinq ans.

C'est la première fois qu'un chiffre précisant le nombre d'enfants décédés dans la région frappée par la famine est rendu public. Cette estimation est basée sur une recherche menée par les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies.

L'Agence pour le développement international a prévenu que d'avantage d'enfants pourraient mourir.

Les Nations unies estiment que dans le sud de la somalie ce sont 640 000 enfants, ou un enfant sur trois, qui souffrent de grave malnutrition.

L'ONU a récemment ajouté de nouvelles régions sur la liste des territoires touchés par la famine dans le sud somalien, mais l'institution est confrontée à des difficultés pour distribuer l'aide alimentaire dans les régions contrôlées par les extrémistes musulmans.

BHK 05/08/2011

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Un bébé somalien de sept mois sauvé après dix jours de traitement


Alors que la sécheresse et la famine en Somalie continuent à tuer un nombre croissant d'enfants, une histoire attachante nous apporte une lueur d'espoir. Ainsi, un bébé somalien de sept mois gravement sous-alimenté a pu être sauvé dans un camp de réfugiés.

Le bébé a été transporté à l'hôpital dans un camp au Kenya, le 25 juillet. Il ne pesait que 3,2 kg et se trouvait dans un état critique souffrant de malnutrition aigüe et de déshydratation.

Après dix jours de traitement, l'état du bébé s'est stabilisé et il se porte bien, pesant maintenant 3,8 kg.

Plus de 29 mille enfants de moins de 5 ans seraient morts au cours des trois derniers mois dans le sud de la Somalie.

Les Nations unies estiment que 640 mille enfants vivant dans la région souffrent de malnutrition aigüe. Ce chiffre représente un enfant sur trois dans la population locale.

L'ONU demande aux nations membres d'apporter une contribution financière pour sauver la vie de ces enfants.

NHK 07/08/2011

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