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Etat des lieux des nappes phréatiques

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Près des deux tiers des nappes phréatiques manquent toujours d'eau


Près des deux tiers des nappes phréatiques de France (63%) affichaient toujours un "niveau inférieur à la normale" au 1er septembre malgré un été pluvieux avec le mois d'août le plus sec depuis 40 ans en Corse, selon le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM).

La plus grande partie du Bassin parisien et le Sud-Ouest souffrent "du résultat de plusieurs années de déficit pluviométrique", indique la carte de l'état des nappes d'eau souterraine publiée lundi.

Cette situation concerne surtout les nappes de Beauce, du Bas-Dauphiné, du Champigny en Ile-de-France ainsi que celles du bassin de la Garonne, relève le communiqué du BRGM.

En Alsace, en revanche, les pluies de l'été et les mesures de restriction dès le printemps ont permis de recharger relativement vite les nappes. De même dans le Languedoc-Roussillon et en Provence-Alpes-Côte d'Azur, où les niveaux des eaux souterraines sont qualifiés de "plus favorables" au 1er septembre.

Cet été, les quantités d'eau tombées lors des pluies qui ont gâché les vacances de bon nombre de touristes étaient "supérieures de près de 30% à la moyenne de référence pendant les années 1971 à 2000", ajoute le BRGM.

Mais les régions ont été différemment arrosées avec des cumuls d'eau deux à trois fois supérieurs à la normale sur le Nord-Ouest. L'extrême sud du pays, cependant, a connu des précipitations nettement déficitaires.

En résumé, "le niveau des nappes à la fin août a été en hausse pour 17% des nappes phréatiques, en baisse relative pour 67% et stable pour les 16% restants."

Ce lundi 59 départements restaient touchés par des mesures de restrictions d'usage de l'eau, principalement sur la façade atlantique et dans le centre de la France, selon le ministère de l'Ecologie.

Sciences et Avenir 20/09/2011

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Grâce aux pluies abondantes du printemps et du début de l'été, plus de la moitié des réservoirs affichaient au 1er août un niveau normal ou plus, avec une tendance désormais normalement à la baisse, a annoncé lundi le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM).

"La moitié des réservoirs (55%) affichent un niveau normal à supérieur à la normale, notamment pour une grande partie du quart sud-est et de l'est de la France", note le BRGM dans son point au 1er août de l'état des nappes d'eau souterraine.

"Cette situation, assez favorable en cette période estivale, n'était pas garantie en fin d'une période hivernale très déficitaire en termes de recharge de nappe", rappelle le BRGM, qui note que les "précipitations importantes" et "tardives" du printemps et du début de l'été "ont participé fortement à la recharge".

Selon le BRGM, "les épisodes pluvieux qui ont précédé la période estivale ont été suffisamment significatifs pour assurer une partie de la recharge des nappes et pour satisfaire directement certains besoins de l'agriculture". "La situation des nappes est ainsi assez favorable, a priori, pour qu'il ne se pose pas cet été de problèmes sérieux de ressource en eau souterraine", ajoute-t-il.

IL note aussi qu'en ce milieu de période estivale "la tendance d'évolution des nappes est désormais à la baisse pour la grande majorité des nappes (64%)", avec seulement 21% de nappes de niveau stable, et 15% à la hausse à la faveur de précipitations récentes.

Une tendance qui concerne "l'ensemble du territoire, ce qui est assez normal pour cette période de l'année", note le BRGM.

Par rapport au début du printemps, la situation des nappes s'est généralement améliorée, avec des niveaux normaux dans de nombreuses régions, et des situations déficitaires seulement dans l'ouest du Bassin parisien et dans certains secteurs du Bassin aquitain.


SCIENCES ET AVENIR 20/08/2012

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PARIS - Près d'une nappe phréatique sur deux affichait un niveau normal ou supérieur à la normale au 1er septembre, date qui marque généralement les niveaux les plus bas de l'année, a indiqué mardi le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM).

La situation des nappes, bien que contrastée selon les aquifères, est encore relativement favorable à la fin août, a souligné le BRGM dans un communiqué.

La moitié des réservoirs (48%) affichaient un niveau normal à supérieur à la normale, avec des niveaux hétérogènes d'une région à l'autre, a indiqué le BRGM.

En 2011, année marquée par un printemps historiquement sec, près des deux tiers des nappes phréatiques (63%) affichaient un niveau inférieur à la normale à la même époque de l'année.

Les épisodes pluvieux qui ont marqué la fin du printemps 2012 ont été suffisamment significatifs pour assurer une partie de la recharge des nappes et pour satisfaire, dans plusieurs secteurs, les besoins en eau souterraine de la période estivale, a souligné l'organisme.

Les niveaux étaient proches de la normale en Lorraine, Franche-Comté, Poitou-Charentes ou Provence-Alpes-Côte-d'Azur, mais le BRGM a constaté quelques situations déficitaires dans l'ouest du Bassin parisien, pour certains secteurs du Bassin aquitain ou dans le couloir rhodanien.





ROMANDIE.COM 18/09/2012

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Paris (AFP) - La très grande majorité des nappes phréatiques (88%) de France présentaient au 1er août un niveau normal à supérieur à la normale, soit des niveaux "très hauts" pour la saison, a annoncé mardi le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM).

"La situation des nappes durant cet été traduit l'excellente recharge du début d'année qui s'est prolongée de manière significative jusqu'en début d'été, ce qui est assez exceptionnel", écrit le BRGM dans un communiqué.

Après un printemps très pluvieux qui a rechargé les nappes, les précipitations orageuses de juillet ont répondu aux besoins en eau de la végétation. "Ainsi, les nappes n'ont pas été sollicitées autant que d'habitude et leurs niveaux restent très hauts pour la saison", explique le BRGM.

Les situations les plus favorables sont constatées dans les nappes de la Garonne, du Berry, de la plaine d'Alsace, de la Beauce, de Franche-Comté ou encore dans les aquifères alluviaux de l'Adour et du Gave de Pau.

Le 1er août dernier, 55% des réservoirs affichaient un niveau normal à supérieur à la normale, une situation qui était jugée par le BRGM comme "assez favorable".

Plus de 60% de l'eau potable provient des eaux souterraines.


SCIENCES ET AVENIR 13/8/2013

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