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JAPON : commémoration en mémoire des morts et disparus

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Cérémonie à la mémoire des écoliers et instituteurs de l'école primaire Okawa

Une cérémonie a eu lieu dimanche dans la ville d'Ishinomaki, dans le nord-est du Japon, à la mémoire des écoliers et instituteurs de l'école primaire Okawa, tués dans le tsunami de l'an dernier.

L'évènement se déroulait à l'approche du premier anniversaire de la double catastrophe du 11 mars.

Le tsunami a englouti le bâtiment à un étage de l'école, faisant 70 morts parmi les 108 écoliers de l'établissement. Quatre sont toujours portés disparus. Neuf enseignants ont également péri et un autre n'a pas été retrouvé.


Des photos des écoliers et instituteurs avaient été alignées sur un autel. Chacun des quelque 300 participants, parmi lesquels des parents, ont déposé des fleurs devant.

NHK 04/03/2012

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Des Iraniens ont observé une prière pour la reconstruction du nord-est de l'Archipel.

Lors d'une cérémonie organisée dimanche par l'ambassade du Japon à Téhéran, des musiciens iraniens ont joué une pièce traditionnelle dédiée aux victimes de la double catastrophe.

Des images des zones sinistrées étaient exposées et les visiteurs ont prié en hommage aux victimes.

NHK 05/03/2012

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Le Japon commémore le premier anniversaire de la catastrophe du 11 mars


Ce dimanche marque le premier anniversaire du puissant séisme et du tsunami géant qui ont ravagé le nord-est du Japon, une catastrophe qui a détruit ou endommagé plus de 370.000 maisons et bâtiments.


Le bilan officiel du drame était samedi de 15 854 morts et de 3155 disparus. Plus de 340 000 personnes sont réfugiées dans des logements temporaires, la plupart se trouvant dans les trois préfectures les plus touchées d'Iwate, de Miyagi et de
Fukushima.


L'accident nucléaire de la centrale Fukushima Dai-ichi a aggravé l'ampleur de la catastrophe. La menace de la contamination radioactive a contraint quelque 160.000 personnes à quitter leur maison.


La décontamination des zones polluées aux substances radioactives se révèle
particulièrement difficile, et la gestion des débris du tsunami a également pris
du retard.

NHK 11/03/2012

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Prières devant "le pin solitaire du miracle"


Un grand nombre de personnes se sont rendues dimanche au pied du seul pin ayant résisté au tsunami à Rikuzentakata, ville côtière de la préfecture d'Iwate.

A la fin de l'année dernière, un groupe de protection de l'environnement a découvert que l'arbre, vieux de 270 ans et baptisé "le pin solitaire du miracle", était mort car ses racines avaient pourri.

Le tsunami a emporté tous les autres pins. Il y en avait environ 70.000 sur ce littoral pittoresque.

Il tombait une neige légère ce dimanche matin. Des gens ont prié devant l'arbre, qui est devenu un symbole de la reconstruction.

NHK 11/03/2012

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Journée de recueillement pour les victimes du tsunami à l'occasion de
l'Equinoxe du printemps


Dans les régions côtières du nord-est de l'Archipel nippon
dévastées par les catastrophes de mars 2011, les habitants se rendent dans les
cimetières pour se recueillir sur les tombes des victimes.

Ce 20 mars,
jour de l'Equinoxe du printemps, est traditionnement l'occasion pour les
bouddhistes japonais d'aller prier sur la tombe de leurs parents et
ancêtres.

-----> Cette tradition est à rapprocher de celle pratiquée par les rites chrétiens qui honorent la mémoire du souvenir des défunts le 1er novembre...

NHK 20/03/2012

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Le Japon commémore aujourd'hui le 3ème anniversaire du séisme et du tsunami qui ont dévasté le nord-est du pays le 11 mars 2011.

TomoNews US 10/3/2014 - Le 11 mars 2014 marque le troisième anniversaire du tremblement de terre sous-marin d'une ampleur 9.0 qui a frappé la côte est de Tohoku au Japon. Le tremblement de terre était le plus puissant jamais connu à avoir frappé le Japon, et le cinquième le plus puissant du monde dans l'histoire. Les vagues du tsunami déclenché par la secousse a atteint une hauteur de 40,5 mètres, et ont pénétré jusqu'à 10 km à l'intérieur des terres. Il a également déplacé l'île principale Honshu de 2,4 mètres à l'est et a déplacé l'axe de la terre entre 10 cm et 25 cm selon les estimations. Les cérémonies commémoratives se tiendront dans les villes autour de la zone sinistrée et dans Tokyo, la capitale. Beaucoup de gouvernements locaux ont fait résonner la sirène d'alarme au tsunami à 14h46, marquant le moment exact où le séisme de magnitue 9,0 sur l'échelle de Richter a frappé.

Un séisme de magnitude 9 a frappé le nord-est du Japon il y a trois ans, provoquant des vagues de plus de 10 mètres de hauteur. Le tsunami a frappé les régions du Tohoku et du Kanto, sur la côte pacifique.

L'Agence de la police nationale précise que plus de 18,500 personnes ont perdu la vie ou ont disparu. Près de 3000 autres sont mortes en tentant de fuir leurs maisons.

Le gouvernement indique que plus de 250 000 personnes vivaient toujours dans des habitations temporaires en février.

Le travail de construction de nouvelles habitations dans des zones surélevées est en retard sur l'échéancier. Le gouvernement prévoit de construire 30,000 habitations publiques, mais seulement 3 % d'entre elles ont été complétées à ce jour.

Le combustible nucléaire de trois réacteurs a fondu à la centrale nucléaire de Fukushima Dai-ichi suite au tremblement de terre et au tsunami, mais la cause précise de l'accident reste inconnue. Comment d'énormes quantités de substances radioactives se sont échappées des réacteurs demeure également sans réponse claire.

L'opérateur de la centrale est actuellement confronté à une accumulation de l'eau radioactive utilisée pour refroidir le combustible nucléaire.

Les autorités évaluent qu'il faudra 40 ans avant que la centrale ne soit démantelée.

NHK WORLD 11/3/2014

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Les Egyptiens commémorent aussi à leur façon le séisme et le tsunami qui ont dévasté le nord-est du Japon il y a trois ans.

teleSURenglish tv 11/3/2014


Plus de 200 personnes ont participé lundi à une cérémonie commémorative organisée par l'ambassade du Japon au Caire.

Les participants, dont des Egyptiens qui ont étudié au Japon, ont prié en silence au début de la cérémonie.



M. Rashwan a dit souhaiter que les athlètes de cette région parviennent à surmonter les difficultés auxquelles ils sont confrontés, afin de pouvoir se concentrer sur leur entraînement. Il les a encouragés à préserver leur capacité à relever des défis de même que leur espoir dans l'avenir.

Une vidéo a ensuite montré le lutteur de sumo d'origine égyptienne, Osunaarashi, tenant une banderole avec des messages d'encouragement à l'intention des résidents de la ville d'Iwaki, dans la préfecture de Fukushima. La vidéo le montrait également au milieu d'enfants de la région (vidéo non trouvée..).

PigMine5 9/3/2014


NHK WORLD 11/3/2014

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Minamisoma (Japon) (AFP) - Depuis quatre ans exactement, Takayuki Ueno vit dans le souvenir, celui de ses parents et de ses deux enfants emportés par le tsunami du 11 mars 2011 dans le nord-est du Japon, une tragédie humaine masquée par le panache radioactif de Fukushima.

"L'impact de l'accident nucléaire a été si fort, qu'il nous a laissés derrière, dans l'ombre", déplore cet homme de 42 ans.

 Takayuku Ueno, le 8 mars 2015, devant un autel dressé en hommage à sa famille décédée à la suite du Tsunami, le 11 mars 2011 sur la côte de Minamisoma, à une vingtaine de kilomètres au nord de la centrale de Fukushima (c) Afp

Sa petite dernière, Sarii, née après le raz-de-marée qui a tué plus de 18.000 personnes, "va entrer à la maternelle en avril, elle va commencer à faire des choses que son grand-frère n'a pu connaître", regrette ce père hanté par l'image de Kotaro, son fils disparu, qui n'avait que trois ans quand la vague l'a emporté. "Je ne peux pas m'empêcher de penser combien sa vie a été courte".

Il était 14H46 le vendredi 11 mars 2011 lorsqu'un séisme de magnitude 9 dans le Pacifique a provoqué le pire désastre subi par le Japon depuis la guerre. Au tragique sinistre naturel, s'est ajouté l'accident nucléaire de Fukushima, la fusion des coeurs de trois des six réacteurs.

"Dès que la première explosion a saccagé le site, tout le monde a déguerpi. Personne n'est plus venu ici pour aider. J'étais le seul être en mouvement dans toute cette région", confie M. Ueno à l'AFP en balayant du regard la côte de Minamisoma, à une vingtaine de kilomètres au nord du complexe atomique en péril. "Nous avions désespérément besoin d'aide, avec tant de personnes dont nous étions sans nouvelles. Mais nul n'est venu. Ce n'est que 40 jours plus tard, le 20 avril, que les soldats sont arrivés". "Je pense à tous ceux qui vivaient auparavant dans la zone évacuée des 20 kilomètres autour de la centrale. Ils voulaient sans doute retrouver les leurs, mais ils n'ont pas pu". Le danger des radiations a eu raison du volontarisme des secouristes.

Euronews 11/3/2015



Même la femme de Takayuki, enceinte de leur troisième enfant, n'a pu revenir, pas même pour les funérailles de sa fille, Erika, 8 ans, dont le corps a été retrouvé, comme celui de sa grand-mère sexagénaire, près de la maison de la famille. Mais manquent toujours ceux de Kotaro et de son grand-père, malgré la découverte ultérieure de nombreux cadavres dans les jours, mois et semaines suivant le désastre.

"J'ai pu prendre Erika dans mes bras et lui demander pardon. Je voulais aussi serrer Kotaro et prononcer ces mêmes mots. Je voulais tellement le retrouver". Les ans passent, mais M. Ueno ne renonce pas, il ne peut pas. Les radiations, il ne les compte pas, les déceptions non plus. "En fin d'année dernière, un cadavre a été trouvé par là, le buste et les jambes... mais pas la tête". "Il faut que quelqu'un continue à marcher le long du littoral, sans quoi la probabilité de retrouver les corps sera réduite à néant". "Je suis toujours vivant, je fais mon devoir".

Les restes de quelque 2.600 ex-habitants de la côte du nord-est dévasté demeurent introuvables, en dépit des recherches effectuées par les forces de l'ordre et des soldats symboliquement tous les 11 de chaque mois.


Sciences et avenir 11/3/2015

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