Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
BelleMuezza

Contre la chasse à courre et toutes les autres chasses

Messages recommandés

Début : 13/09/2012 - Fin :13/09/2013
Auteur : Cassandra Barbosa

PETITION TERMINEE VOIR LES PETITIONS SUIVANTES

Marre de toute cette violence envers les animaux !!







La Petition.be 14/09/2012

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Alors que la chasse provoque chaque année des dizaines d’accidents parfois mortels, l’Association pour la Protection des animaux Sauvages (ASPAS) et la Fondation 30 Millions d’Amis demandent son interdiction le dimanche. Une pétition adressée à Delphine Batho, ministre de l'Ecologie, est accessible à tous.

L’année 2012 touche à sa fin, et le bilan des accidents de chasse est à nouveau sans appel : 13 morts et 54 accidents depuis le 1er janvier... Des chiffres qui s’élèvent à 42 morts et 150 accidents si l’on considère l’ensemble de la saison 2011-2012. Des accidents se produisent en grande partie le dimanche : «Entre 53 % à 63 % des accidents selon les années, explique Pierre Athanaze, président de l’ASPAS. La suppression de la chasse le dimanche permettrait donc d’en éviter plus de la moitié».

Un constat qui s’explique très facilement : le dimanche est le jour où nombre de personnes se retrouve en forêt, à la montagne ou à la campagne pour pratiquer des activités aussi diverses que la randonnée, le VTT, les balades à cheval, l’observation de la faune sauvage, le ramassage des champignons ou la simple promenade familiale : «On compte aujourd’hui environ 5 millions de randonneurs en France qui pratiquent la marche au moins une heure par semaine, poursuit Pierre Athanaze. Si on compte aussi les promeneurs du dimanche, on estime que le nombre des marcheurs s’élève à environ 15 millions !» Or la chasse ne concerne qu’une infime minorité de nos concitoyens, dont le nombre est, selon l’ONCFS*, estimé à 1 million de personnes.

Outre les interdictions auxquelles doivent faire face les non-chasseurs - fermeture de circuits de randonnée, interdiction d’accès à des sites - ces derniers ont de plus en plus peur des tirs et des balles perdues, et se privent parfois de loisirs en plein air par manque de sécurité. Un sentiment éprouvé à juste titre : les mesures interdisant la chasse à proximité des habitations n’existe plus depuis 1982, à l’exception des ACCA**.

Depuis une vingtaine d’années, les droits des non-chasseurs ne cessent de s’amenuiser. En 2000, une loi instaure un jour de non chasse - le mercredi - ainsi qu’un décret fixant les règles de sécurité à la chasse. Un texte abrogé dès 2003 ; quant au décret, il n’a jamais été appliqué : «En France, la loi laisse aux fédérations départementales des chasseurs le soin de rédiger leurs propres règles de sécurité, s’insurge Pierre Athanaze. Et comme seuls les chasseurs ne sont qu'individuellement pénalement responsables des tirs, et non leurs fédérations, celles-ci n’ont pas vraiment envie d’encadrer la pratique par des règles trop contraignantes».

La France est ainsi le seul pays où l’on chasse tous les jours de la semaine. En Grande-Bretagne, il n’y a plus de chasse le dimanche depuis 1831, à l’instar des Pays-Bas. En Italie, seuls trois jours de chasse par semaine sont autorisés, et au Portugal, seulement deux !

Cette revendication, que les organismes défendant les droits de non-chasseurs demandent depuis des années, est pour l’instant restée sans résultat. La pétition lancée sur le site de l’ASPAS pourrait peut-être faire pencher la balance : 300 000 signatures ont déjà été recueillies, au 29 novembre.

Une initiative soutenue par la Fondation 30 Millions d’Amis, qui lutte depuis sa création contre les dangers que représente cette pratique pour les usagers de la nature. La Fondation - qui agit en outre régulièrement aux côtés de l’ASPAS pour la protection des animaux sauvages des campagnes françaises - appelle à signer ce texte, qui sera prochainement remis à Delphine Batho, ministre de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie.


Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage

**Les ACCA [Associations Communales et Intercommunales de Chasse Agréées, NDLR] régissent certains territoires. Les chasseurs de l'ACCA ne peuvent exercer leur pratique qu'au-delà de 150 mètres des habitations ; le propriétaire peut cependant chasser sur son terrain dans ces 150 mètres.


Fondation 30 millions d'amis 29/11/2012

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Nous, promeneurs, randonneurs, cueilleurs de champignons, vététistes, sportifs, cavaliers, scolaires, naturalistes, escaladeurs, plaisanciers, et tous les utilisateurs de la nature, nous demandons le droit de pratiquer notre loisir en toute sécurité et sérénité, sans que pèsent sur nous les menaces d’une seule activité : la chasse.

Trop souvent, et sur tout le territoire, des chasseurs interdisent les chemins, posent des pancartes menaçantes, agressent parfois verbalement les autres usagers de la nature, sans aucun esprit de partage ni de respect. Même les animaux domestiques font les frais de cette agressivité.

Constatant que les chasseurs, qui représentent moins de 2% de la population française, agissent souvent comme si la nature n’appartenait qu’à eux, nous demandons un partage plus équitable de l’espace et du temps, et demandons l’arrêt de la chasse le dimanche.


Une trêve de la chasse pour des promenades en sécurité



CLIQUEZ ICI pour SIGNER la PETITION



ASPAS décembre 2012

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Bonjour,

J'ai vu sur le site de la Fondation 30 millions d'amis que la pétition pour interdire la chasse le dimanche était toujours en vigueur. La Fondation appelle les amoureux de la nature à se manifester. C'est en étant nombreux à signer que l'envie de liberté du plus grand nombre à profiter de la nature aura plus de chances à être respectée...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
LILLE, 21 déc 2013 (AFP) - Une cinquantaine de militants écologistes et altermondialistes bloquaient samedi les accès à un chenil de Folembray (Aisne) pour empêcher la tenue d'une partie de chasse à courre, a-t-on appris de sources concordantes.

Les militants, une cinquantaine selon la préfecture de l'Aisne et le collectif altermondialiste "Les désobéissants", sont issus de trois collectifs de défense de la forêt et de la biodiversité, de défense des animaux, et altermondialiste. "Une cinquantaine de personnes s'opposent au départ d'une chasse à courre à Folembray et ont cadenassé les barrières conduisant au chenil. Tout se passe dans le calme", a indiqué à l'AFP le sous-préfet de permanence. L'action des militants a commencé vers 9H samedi.

 Mr. Sauvons Les Animaux 22/12/2013


La gendarmerie est sur place. "Les activistes réclament d'une seule voix l'arrêt immédiat de la chasse à courre, cette pratique archaïque réservée à quelques privilégiés (15.000 euros la chasse), hautement destructrice de l'équilibre végétal et animal de la forêt", ont indiqué "Les désobéissants" dans un communiqué. Selon Xavier Renou, membre de ce collectif joint au téléphone par l'AFP, les militants comptent empêcher la sortie des chiens du chenil jusqu'à 16 heures environ, l'heure à laquelle la partie de chasse à courre aurait dû commencer au plus tard.

"Nous sommes strictement non-violents", a précisé M. Renou, évoquant "la première grosse action d'une série". Les militants demandent à rencontrer le préfet pour "discuter du statut de la chasse à courre". Dans leur communiqué, ils dénoncent une "souffrance infligée par plaisir" aux animaux sauvages lors de ces parties de chasse, dont "la course effrénée et le stress engendré rendent leur chair impropre à la consommation". Le chenil appartient selon les militants à une société de chasse à courre picarde, le Rallye nomade, qui ne pouvait être jointe dans l'immédiat.

30 millions d'amis 21/12/2013

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Début : 1/2/2014 - Fin ?
Auteur : Emmanuel M.


Cible M. le ministre de la chasse

Nous sommes aujourd'hui , le dernier pays à pratiquer encore la chasse à courre, même l'Angleterre qui y était pourtant très attachée l'a stoppée récemment. Le traumatisme des animaux sauvages accompagné d'une pratique d'un autre âge doivent cesser pour laisser place au retour des prédateurs naturels, tels que le loup, le lynx et l'ours. Sans oublier le renard, qui sont des animaux très utiles à l'écosystème.

Les évenements récents concernant les cerfs et les sangliers nous montrent au grand jour le résultat de la catastrophique gestion de la nature par les chasseurs .

Réagissons et mobilisons nous pour stopper cette chasse, risée de tous les autres pays. La France est montrée du doigt pour son archaïsme en matière de chasse à courre, et de chasse en règle générale.

Aidons les prédateurs à retrouver leur place dans l'ecosystème de la nature en France. Ce sont eux qui gèrent au mieux le surplus d'animaux. En effet, les femelles des prédateurs gèrent la naissance de leurs petits en fonction des proies, plus il y en a, plus ils ont de petits, et inversement.

Il n 'y a pas de concurence entre les prédateurs, car chacun chasse des proies de différentes tailles, mais tous sont utiles. L'ecosystème de la Nature est fragile, si un animal est manquant, le reste de la chaîne alimentaire est brisé.

L'homme ne peut en aucun cas être gestionnaire de la nature.

CLIQUEZ ICI pour SIGNER la PETITION



Mes opinions 2/2/2014

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Début ? - Fin ?
Auteur : ?

Cibles : Philippe Martin, ministre de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie - FNC


Il serait criminel d'autoriser la chevrotine...

Le ministre de l'Écologie va-t-il céder à la demande de la Fédération nationale des chasseurs(FNC), d'autoriser l'usage de la chevrotine? Face à cette perspective rétrograde, l'Association nationale des chasseurs de grand gibier (ANCGG) vient de remettre à Philippe Martin (ministre de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie) une sérieuse étude sur la dangerosité de cette munition. Retournement de veste de la part de la FNC, laquelle s'était pourtant opposée à la levée de l'interdiction de la chevrotine l'an passé.

En plus de sa dangerosité pour les chasseurs et autres utilisateurs de la nature, la chevrotine blesse et mutile énormément d'animaux plus qu'elle ne tue !!! La précision est aléatoire et dangereuse, l'énergie développée insuffisante, les indices de blessure presque inexistant, rendant quasi-impossible toute recherche au sang !!! L'animal ainsi criblé ira mourir lamentablement dans d'atroces et d'interminables souffrances!!! (plusieurs jours voir semaines suivant les atteintes)

HONTEUX et ABJECT qu'une fédération de chasseurs ose relancer le débat sur la chevrotine alors que sa dangerosité et sa faible efficacité ont déjà été prouvées !!!

CLIQUEZ ICI pour SIGNER la PETITION


Pétition Publique 21/3/2014

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Cor sur l'épaule et dague au ceinturon, une dizaine de chasseurs à courre partent à l'affût du cerf dans la forêt d'Orléans. Jugé "cruel" et "archaïque" par les défenseurs des animaux, ce loisir séculaire n'a pourtant jamais compté autant d'adeptes.

Meute de chasse à courre en forêt d'Halatte, Oise. Mel22 CCBYSA3.0

En cette dernière semaine de chasse, après plusieurs heures passées à poursuivre un jeune cerf débusqué par une trentaine de chiens de meute partis à ses trousses, la trompe résonne pour annoncer la fin de la partie. Mais sous leur redingote vert sapin, les élégants cavaliers du Rallye de Fontainebleau et les suiveurs qui les accompagnent ont la mine des mauvais jours.

Une chasse à courre dans la forêt de Chantilly près de Paris (c) Afp

Le cervidé qui a trouvé refuge dans un bois privé proche des routes leur a échappé, comme dans trois parties de chasse sur quatre, souligne la Société de vénerie qui rassemble les quelque 400 équipages de France.

"Dans la vénerie il n'y a pas de notion de tableau de chasse. La mortalité de l'animal est secondaire", assure le président du rallye, Christophe Posty, qui porte gants et cravate au blanc immaculé. Une élégance qui contraste avec l'image moins reluisante de tueurs d'animaux "sans scrupules" véhiculée par les détracteurs des adeptes de la chasse à courre.

 Démonstration de vénerie. Luna04 CCBYSA3.0 importé

"Pourchasser un animal pendant plusieurs heures jusqu'à l'épuisement pour le transpercer dans un étang est simplement révoltant et d'une cruauté sans nom", s'insurge Armand Farrachi, porte-parole d'un collectif pour l'abolition de la chasse à courre, dont fait partie l'association du Droit des animaux récemment sous le feu judiciaire. Le 20 mars, des amendes de 300 à 600 euros ont été requises à l'encontre de trois militants de l'association qui avaient saboté une partie de chasse, en 2007, dans la forêt de Rambouillet en effrayant la cavalerie aux cris "d'assassins". (->un comble !)

Cette saison, deux autres actions similaires, dans l'Aisne et la Creuse, ont eu lieu en dépit d'un décret de 2010 condamnant l'entrave à l'action de chasse d'une amende 1.500 euros, qui agace les militants. "Cette décision est contraire aux libertés fondamentales et antidémocratique au possible", déplore David Charvet, un des militants poursuivis qui dénonce le "puissant" lobbying des chasseurs.

"C'est un rite de classe sociale archaïque, un privilège pratiqué par des gens de pouvoir et des grands capitaines d'industrie", poursuit-il en rappelant que cette chasse réservée à la noblesse sous l'Ancien Régime était tombée en désuétude à la Révolution avant d'être exhumée par Napoléon.

"Fière" au contraire de faire perdurer une tradition vieille de 600 ans, la vénerie avec ses 400 équipages et 10.000 pratiquants ne s'est jamais aussi bien portée en doublant quasiment son nombre d'adeptes par rapport au début du siècle dernier, qui marqua pourtant son âge d'or.

"Si la chasse à courre plaît autant c'est justement par son côté archaïque. Elle est totalement naturelle sans intervention technologique" comme le GPS ou les fusils sophistiqués, défend Pierre de Boisguilbert, secrétaire général de la Société de vénerie et ses confrères.

 Chien typique de chasse à courre. Vénerie CC-BY-1.0

Passionné d'équitation, un ancien professeur de français qui préfère taire son nom mais s'amuse à souligner qu'il est de "gauche", a découvert sur le tard la chasse à courre, refroidi qui plus est lors de sa première sortie par la mise à mort de l'animal"Je suis revenu car le rituel me plaît, ça change de la vie de tous les jours", explique ce sexagénaire qui n'hésite pas à louer un cheval pour chaque sortie en plus d'une cotisation annuelle de 4.000 euros à la société de vénerie.

"C'est un vrai sacrifice financier", reconnaît-il, convaincu que la pratique est vouée à se développer malgré une proposition de loi demandant son interdiction mais qui, de l'aveu même d'un député écologiste, n'est pas prête d'être adoptée.

"La chasse à courre a encore de beaux jours devant elle", prédit Pierre de Boisguilbert en accord avec ses détracteurs. Selon les défenseurs de la cause animale, la France attire de nouveaux adeptes venus d'Angleterre où la chasse a été interdite en 2005 comme dans de nombreux pays européens.

Depuis une vingtaine d'années la vénerie française s'est fortement développée ; avec près de 400 équipages contre 300 en 1914, 17 000 chiens et près de 100 000 suiveurs et veneurs, elle est présente dans 69 départements. La France offre en effet des conditions très favorables à l'exercice de la vénerie : la densité des espaces boisés est plus élevée que partout ailleurs en Europe et le climat tempéré fournit des conditions propres à ce mode de chasse où tout repose sur le travail des chiens. On pratique ce mode de chasse sur tous les continents dans une vingtaine de pays à travers le monde.

On relève, en 2008, 392 équipages dont : 130 de lièvre, 93 de chevreuil, 47 de lapin, 44 de renard, 42 de sanglier, 37 de cerf...
Mais aussi quelques : 17 000 chiens, 7 000 chevaux, 100 000 veneurs et suiveurs plus de 2 000 emplois directs et indirects. quelque 300 fêtes de vénerie attirant tous les ans plus d'un million de visiteurs près de 13 000 journées de chasse par an pour environ 3 800 animaux prélevés...

Sciences et avenir 1/4/2014 - WIKIPEDIA

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
VERSAILLES, 20 mars 2014 (AFP) - Des peines d'amende de 300 et 600 euros ont été requises jeudi à l'encontre de trois militants de l'association Droit des animaux jugés à Versailles pour s'être violemment opposés à une partie de chasse à courre dans la forêt de Rambouillet (Yvelines).

Le ministère public a souligné les "méthodes inacceptables" des militants de la cause animale, coupables de "violation de liberté", mais a écarté les faits de violences. Le tribunal correctionnel rendra sa décision le 29 avril.

L'association de chasse, l'équipage de Bonnelles-Rambouillet, qui a demandé 5.000 euros de dommages et intérêts, avait déposé plainte avec constitution de partie civile en 2009, après une première plainte classée sans suite.

Les trois militants anti-chasse avaient été mis en examen pour "violences" et "entrave à la liberté d'association". L'affaire remonte au 20 octobre 2007, sur une piste cavalière en forêt de Rambouillet (Yvelines).

Selon la version des chasseurs, une cinquantaine de personnes vêtues de noir et masquées avaient "violemment agressé" l'équipage de Bonnelles-Rambouillet, en brandissant des filets et des bâtons contre les cavaliers et leurs montures pour les effrayer, aux cris de "Assassins !".

Sept ans après les faits, à la barre, Jean-Luc, David et Sébastien, se positionnent plus comme spectateurs qu'acteurs de cette manifestation. "Ce sont des amoureux des animaux, des gens pacifiques, pas des fous furieux : ils n'appellent pas à la haine du chasseur ni à désarçonner les cavaliers", a plaidé leur avocat Me Pierre Lumbroso, précisant qu'ils ne faisaient pas partie des manifestants les plus actifs lors de l'action.

Lors de leurs auditions, les militants avaient reconnu vouloir montrer leur opposition non violente à la chasse, mais pas entraver la partie de chasse. Pourtant pour l'avocat des chasseurs, Me Patrick de Clerck, il y a bel et bien eu sabotage : "ça ne doit plus recommencer! La chasse à courre est un droit depuis des siècles, c'est légal, le sabotage n'est pas légal", a-t-il martelé , en soulignant "le choc émotif" ressenti par les cavaliers et leurs montures, "pris en sandwich" par les militants.

La chasse à courre regroupe en France 420 équipages, 10.000 veneurs et quelque 150.000 "suiveurs" (à pied ou à vélo). Dans cette pratique ancestrale controversée, des veneurs à pied ou à cheval poursuivent en "équipage" un animal sauvage avec une meute de chiens jusqu'à l'hallali.

Fondation 30 millions d'amis 20/3/2014

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...