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Eléphants braconnés au cyanure au Zimbabwe

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81 éléphants braconnés au cyanure... Les animaux ont été tués pour leur ivoire dans le parc national Hwange, le plus grand du Zimbabwe.

Où s'arrêteront les braconniers ? Quatre-vingt un éléphants ont été empoisonnés au cyanure en quelques mois dans le plus grand parc national du Zimbabwe par des "chasseurs" pour s'emparer de leurs défenses en ivoire, ont annoncé les autorités mardi 25 septembre.

 Quatre-vingt un éléphants ont été empoisonnés au cyanure en quelques mois dans le plus grand parc national du Zimbabwe par des braconniers pour s'emparer de leurs défenses en ivoire, ont annoncé les autorités mardi. (c) Afp

"Quand nous avons quitté le parc national Hwange, nous avions dénombré au total 81 éléphants empoisonnés au cyanure", a déclaré Jerry Gotora, un responsable de l'office des parcs nationaux.

"Le poison a été placé à des endroits où les éléphants paissent, et non dans l'eau comme cela a été dit", a précisé M. Gotora. Neuf suspects ont été arrêtés.

Seulement 50 rangers patrouillent dans ce parc, qui s'étend sur 15.000 km2 - ce qui correspond environ à la moitié de la Belgique.

Surtout, ce massacre pourrait avoir des conséquences néfastes pour les autres espèces du parc. Selon le président d'une société de conservation des animaux du Zimbabwe, interrogé par le site AllAfrica (en anglais), "tous les carnivores du parc, comme les lions, les léopards, les oiseaux, vont eux aussi mourir après avoir mangé la chair des éléphants".

SCIENCES ET AVENIR 25/9/2013 - FRANCE TV INFO 25/9/2013

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Un tribunal du Zimbabwe a condamné mercredi à au moins quinze ans de prison trois personnes accusées d'avoir tué 81 éléphants. Cette information a été annoncée par la radio d'Etat Spot FM. Les animaux avaient d'abord été empoisonnés au cyanure.

Pour cet empoissonnement, mercredi, un homme de 25 ans a été condamné à 16 ans de prison et à une amende de 440'000 euros, ses co-accusés, âgés respectivement de 42 ans et 24 ans, ont eux écopé de 15 ans de prison et de 150'000 euros d'amende chacun. "Les autorités des parcs nationaux et de la faune ont salué ce jugement comme une arme de dissuasion contre d'éventuels braconniers", a souligné Spot FM.

Les défenses d'éléphant sont toujours très recherchées, car leur ivoire est revendu cher en Asie...

Les trois personnes condamnées font partie d'un groupe de neuf personnes arrêtées et soupçonnées d'avoir empoisonné les points d'eau de la réserve. Cependant, Jerry Gotora, président de l'Office des parcs nationaux du Zimbabwe, a dit que le poison avait été placé "dans des lieux où les éléphants paissent, et non dans l'eau comme cela a été dit".

Il y a deux ans, neuf éléphants, cinq lions et deux buffles étaient morts, empoisonnés au cyanure dans le parc Hwange National Park.

Seuls 50 rangers patrouillent dans ce parc, qui s'étend sur 15'000 km2 (soit la moitié de la Belgique), et les autorités des parcs disent qu'il en faut dix fois plus. Plus de 120'000 éléphants vivent dans les parcs du Zimbabwe.


ROMANDIE 25/9/2013

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HARARE, 15 oct 2013 (AFP) - Au moins cent éléphants, empoisonnés au cyanure, ont été retrouvées morts cette semaine dans le plus grand parc national animalier du Zimbabwe, ont indiqué les autorités de conservation de la vie sauvage, après la découverte de dix nouvelles carcasses.

"Dix carcasses d'éléphants ont été découvertes à Hwange avant-hier, deux suspects ont été arrêtés et 14 pièces d'ivoire saisies", a indiqué Caroline Washaya-Moyo, une porte-parole de l'autorité gestionnaire des parcs nationaux. De nombreux autres animaux ont aussi succombé à un empoisonnement, selon les autorités qui n'ont pas voulu donner de détails. 

Ces dernières semaines, douze personnes ont été arrêtées, dont trois ont été condamnées le mois dernier à des peines d'au moins 15 ans de prison, assorties d'une lourde amende de 600.000 dollars (440.000 euros).Les autorités ont aussi donné un ultimatum aux habitants d'un village en bordure du parc accusés de détenir du cyanure.

Les chefs coutumiers de Tsholotsho ont imploré le pardon des autorités nationales en soulignant que si des villageois s'étaient rendus complices de braconnage, c'était à cause de la pauvreté, et non par cupidité

Le parc, d'une étendue de plus de 14.000 km2, est patrouillé par seulement une cinquantaine de rangers, et aurait besoin de dix fois plus de patrouilles.

Le nombre d'éléphants est estimé à plus de 120.000 dans les parcs nationaux du pays. Ils sont victimes de réseaux organisés de braconnage qui exportent l'ivoire vers l'Asie et le Moyen-Orient, en dépit de son interdiction depuis 1989.Le trafic d'ivoire brasse chaque année environ 10 milliards de dollars selon un expert dans la protection des animaux sauvages.

30 millions d'amis 15/10/2013

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Au Zimbabwe, le bilan des récents empoisonnements d'éléphants par des braconniers pourrait dépasser les 300 pachydermes tués, indique l'ONG Zimbabwe Conservation Task Force (ZCTF), lundi 21 octobre. Un chiffre beaucoup plus élevé que les premières estimations communiquées par l'organisation. "La semaine dernière, on en était à 325 éléphants tués au total", a déclaré Johnny Rodrigues, le président de ZCTF. Aucun porte-parole officiel n'a été disponible lundi pour confirmer le chiffre de l'ONG.

 Des éléphants dans un parc du Zimbabwe, le 20 juin 2013. (DAVID FETTES / IMAGE SOURCE / AFP)

Les éléphants ont été empoisonnés au cyanure afin que leurs défenses soient prélevées. L'ivoire récoltée et exportée clandestinement est essentiellement destinée aux marchés asiatiques, et notamment chinois. Les défenses finissent comme objet d'ornement ou en sculptures. Ce massacre a fait de nombreuses victimes collatérales au Zimbabwe, essentiellement des carnivores. Des lions, des vautours, des lycaons et des hyènes ont péri après avoir mangé sur les carcasses des éléphants.

Quatre braconniers ont déjà été condamnés à des peines d'au moins 15 ans de prison pour ces crimes. Mais selon le président de ZCTF, les autorités minimisent sciemment les pertes : "On cache beaucoup de choses", affirme-t-il. "Ceux qui ont été arrêtés et condamnés sont du menu fretin sacrifié par les gros et dangereux poissons, qui eux restent intouchables. Il y a parmi eux des hommes politiques et des hommes d'affaires importants."


Francetv info 21/10/2013

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Au moins quatorze éléphants sont morts empoisonnés au Zimbabwe ces dernières semaines, ont indiqué les autorités des parcs nationaux mercredi 7 octobre 2015, qui soupçonnent des actes de braconnage dans onze cas. 

"Onze éléphants sont morts à la suite d'un empoisonnement chimique dans le parc national de Hwange à ouest du Zimbabwe et dans la réserve de Deka, et trois autres se sont empoisonnés dans une décharge", a annoncé la porte-parole des autorités des parcs naturels du Zimbabwe, Carol Washaya, dans un communiqué. 

UPDATE ON HWANGE CYANIDE POISONING.Zimbabwe Parks and Wildlife Management Authority working together with the ZRP has...

Posted by Zimparks on mercredi 7 octobre 2015


Cinq des pachydermes "ont été empoisonnés par des braconniers dans le parc de Hwange" et six autres ont été retrouvés morts par une patrouille de rangers, juste en dehors du parc, a-t-elle ajouté. De plus, les défenses de certains animaux avaient été coupées, probablement par des braconniers. La police a arrêté cinq hommes suspectés d'être impliqués dans la mort de ces onze animaux

Les trois autres éléphants retrouvés morts ont été empoisonnés au cyanure après avoir consommé des déchets toxiques dans une décharge de la ville de Kariba, selon des tests effectués en laboratoire. Néanmoins, dans ce cas précis l'acte criminel est écarté

Le braconnage est fréquent dans les parcs nationaux zimbabwéens où les éléphants et les rhinocéros représentent les principales cibles

L'an dernier, plus de 100 éléphants avaient été empoisonnés au cyanure pour le braconnage de leur ivoire. Selon la WWF, l'ivoire servirait la sculpture, la bijouterie et d’autres objets d’artisanats. C'est plus de 12.000 pachydermes qui sont tués tous les ans pour répondre à la demande du commerce illégal. D'après les experts cités par Francetv info en février 2015, au bout de la chaîne se trouve les mafias africaines et asiatiques qui utilisent le marché de l'ivoire pour alimenter des organisations criminelles.

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Harare (AFP) - Vingt-deux éléphants ont été retrouvés morts au Zimbabwe, probablement empoisonnés au cyanure par des contrebandiers, ont annoncé les autorités des parcs nationaux mardi, portant à 62 le nombre de pachydermes empoisonnés dans ce pays depuis septembre.








"Nous avons découvert 22 carcasses d'éléphants dans la zone de Sinamatela", à proximité de Hwange (ouest), la principale réserve du Zimbabwe, "et jusqu'à présent nous avons retrouvé 35 défenses", a déclaré à l'AFP la porte-parole des parcs, Caroline Washaya. "Selon les premiers éléments de l'enquête, les éléphants ont été empoisonnés au cyanure", a-t-elle précisé.




"Nous continuons à faire pression pour que les personnes arrêtées en possession de poison tel que le cyanure reçoivent des amendes dissuasives. On ne peut pas perdre la faune à un taux aussi alarmant", a-t-elle ajouté.

Il y a moins de deux semaines, 26 éléphants avaient été retrouvés empoisonnés à l'extérieur du parc de Hwange, et à Dzibanini, non loin de la frontière avec le Bostwana. Et le mois dernier, au moins 14 éléphants avaient subi le même sort.

Les braconniers tuent les éléphants pour s'emparer de leurs défenses, vendues ensuite sur le marché clandestin de l'ivoire, essentiellement chinois, pour en faire des objets d'art. De 30.000 à 40.000 éléphants sont tués chaque année en Afrique pour alimenter ce trafic, mettant en danger la survie de l'espèce à moyen terme.

L'an dernier, plus de 300 pachydermes ont été empoisonnés au cyanure placé à proximité de points d'eau au Zimbabwe.


----->Les éléphants ne doivent pas être les seules victimes de ces empoisonnements... Il y a forcément des victimes collatérales ! Et on n'en parle pas... Pourtant les éléphants ne sont pas les seuls animaux à s'abreuver dans les rivières, lac ou trous d'eau !!! Ne pourrait-on pas supposer une réalité plus sombre (bien que le braconnage en soit déjà une) : une élimination des éléphants calculées par ? pour s'emparer des terres... puisqu'il est reconnu qu'il existe un conflit de ce côté là...


Sciences et avenir 27/10/2015

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Les empoisonnements d'éléphants perpétrés dernièrement au Hwange National Park (Zimbabwe) auraient en réalité été menés par les rangers eux-mêmes.

Ils sont censés les protéger mais ils les auraient tués. Plusieurs rangers du Hwange National Park situé au Zimbabwe auraient délibérément empoisonné une soixantaine d'éléphants. D'après une source du journal britannique The Telegraph, les rangers du parc naturel auraient trouvé cette seule solution pour clamer leur mécontentement à propos de leur salaire

 Les éléphants tués ces derniers mois l'auraient été par les rangers du parc. ©️ Tsvangirayi Mukwazhi/AP/SIPA

Ces derniers mois, 62 éléphants sont morts par ingestion de cyanure. Ce poison extrêmement puissant reste présent dans l'eau et les carcasses d'animaux : c'est toute la faune et la flore environnante qui est touchée quand des éléphants sont empoisonnés

De façon surprenante, et malgré cette hécatombe, seulement quatre défenses ont été volées. Pourquoi ? Il est possible que les braconniers aient été interrompus dans leur forfait. Mais une autre explication est envisageable : que les auteurs soient les rangers et qu'ils n'aient donc pas tués les pachydermes pour leurs défenses.

Il faut rappeler que les rangers risquent leur vie pour lutter contre les braconniers. Ces derniers sont généralement bien armés. Début octobre, dans un parc naturel du Congo, quatre rangers avaient trouvés la mort après des échanges de tirs contre des braconniers. La patrouille était en charge de la protection des éléphants. 

Au Zimbabwe, un ranger gagne moins de 400 euros par mois quand la revente de 10 kilos d'ivoire en rapporte 26.000 au marché noir. Le Zimparks, l'autorité qui gère les parcs naturels au Zimbabwe, ne reçoit aucune subvention de l'Etat. L'argent qui paye les rangers provient donc du tourisme et de la chasse au trophée. Cette chasse qui a conduit à la mort du lion Cecil durant l'été 2015 et qui a permis l'abattage d'un éléphant vieux de 50 ans en octobre. Afin d'obtenir assez d'argent pour veiller à la sécurité dans les parcs, le ministère de l'environnement zimbabwéen demande l'aide internationale. Il déclare que sans soutien financier des autres pays, la guerre contre les braconniers est perdue.

Selon le Groupe de la Banque Africaine de Développement, depuis 2014 la croissance du PIB (Produit Intérieur Brut) du pays a ralenti. Le Zimbabwe souffre d'une sous production et d'un manque de compétitivité sur la scène internationale. Les importations sont moins chères que les produits locaux et les exportations sont coûteuses. Le Zimbabwe est un pays endetté où le secteur qui embauche le mieux est celui informel. En effet, 80 % des employés le sont dans un domaine qui n'est pas régulé par l'Etat. Le braconnage en fait partie.


------>Si cette piste s'avérait confirmée, il serait temps que des sanctions soient prises au plus haut niveau... Et que le système soit revu dans son intégralité. Imaginons que des employés d'une entreprise de restauration rapide, par exemple, soient mécontents de leur salaire... et mettent du cyanure dans les produits destinés aux clients... L'affaire ferait grand bruit et, à n'en pas douter, des mesures coercitives seraient prises à l'égard des employés indélicats.... Nous attendons la même chose quand la faune est victime de tels agissements !!!!



Sciences et avenir 29/10/2015

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Le Zimbabwe a accusé jeudi les rangers des parcs et les populations locales d'être responsables de l'empoisonnement d'au moins 71 éléphants ces derniers mois. Un braconnage contre lequel le gouvernement entend lutter avec des drones notamment.

"De nombreux facteurs dont le moral très bas des rangers, le manque de bénéfices pour les habitants et des incohérences dans les quotas de chasse contribuent au braconnage", a déclaré la ministre de l'Environnement, Oppah Muchinguri, lors d'une réunion à Harare avec des représentants du gouvernement et des défenseurs de l'environnement.


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"Nous avons tous en tête la bouleversante nouvelle de l'empoisonnement au cyanure de 71 éléphants au parc national de Hwange (ouest) au cours des dernières semaines", a-t-elle ajouté. "Nous devons motiver nos rangers pour qu'ils ne braconnent pas", a-t-elle reconnu, appelant à une amélioration de leurs conditions de travail.

La semaine dernière, trois journalistes zimbabwéens ont été arrêtés pour "publication de fausses nouvelles", après avoir mis en cause des responsables de parcs nationaux, des policiers et un homme d'affaires chinois dans l'empoisonnement d'au moins 60 éléphants.


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Oppah Muchinguri a aussi estimé que les villageois qui habitent à proximité des parcs et réserves devraient davantage bénéficier des revenus du tourisme. Au Zimbabwe, le tourisme, essentiellement animalier, génère chaque année environ 1 milliard de dollars de revenus, selon des chiffres officiels.

"Le problème du braconnage, s'il n'est pas traité d'une façon décisive, aura des conséquences économiques importantes", a prévenu la ministre qui a annoncé, sans en préciser le nombre, l'achat de drones pour surveiller les parcs. Des agents de sécurité ont en outre été déployés pour patrouiller dans et à proximité des parcs.

L'empoisonnement des points d'eau est une façon de tuer les éléphants pour ensuite prélever leurs défenses, revendues essentiellement sur le marché chinois pour fabriquer des objets d'art en ivoire.

Le Zimbabwe abrite quelque 80'000 éléphants. L'an dernier, plus de 300 ont été tués dans le pays après avoir été empoisonnés au cyanure. L'empoisonnement des points d'eau tue en outre tous les animaux qui viennent y boire.

Sur le continent africain, environ 30'000 éléphants sont massacrés chaque année, alors qu'il n'en reste qu'environ 470'000 en liberté, selon le dernier décompte de l'association Eléphants sans frontières.

 Mathieu Bourgarel 17/10/2015


Romandie 12/11/2015

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