Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
BelleMuezza

Tchernobyl 25 après

Messages recommandés

L'accident nucléaire de Tchernobyl reste gravé dans les esprits, et pas seulement. Plusieurs décennies ans après l'explosion de la centrale nucléaire, quelles sont les conséquences directement liées ?

Ce dossier fait état des connaissances acquises sur les conséquences de l'accident de Tchernobyl. Il aborde des questions liées aux effets de l'accident en Biélorussie, en Ukraine et en Russie, ainsi qu'aux résultats des études de l'IRSN visant à mieux cerner les conséquences de cet accident en France. Les conséquences sanitaires en environnementales sont abordées, ainsi que le devenir du site de Tchernobyl.

- Déroulement de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl

- Le devenir du site de Tchernobyl : le démantèlement de la centrale

- Le devenir du site de Tchernobyl : construction du nouveau sarcophage

- Tchernobyl : les conséquences sanitaires pour la population locale

  • L'évacuation de la population locale, effectuée dans un délai tardif, n'a évidemment pas suffit à enrayer les effets de la radiation. Très vite, les conséquences sanitaires ont été visibles, et ont perduré au fil des années. Hommes, femmes et enfants ont souffert et souffrent encore aujourd'hui des rejets radioactifs de la catastrophe, effets qui se transmettent malheureusement de génération en génération.


- Tchernobyl : la contamination des sols et les effets sur la faune et la flore

À Tchernobyl, malgré ce que l'on pourrait penser, végétaux et animaux (daims, lapins, souris, oiseaux et même des loups ou des ours…) sont présents dans une nature qui a repris ses droits. Une présence positive donc, mais porteuse de nombreux débats. Pour évaluer la santé de ces animaux, de nombreuses études ont été faites par des biologistes internationaux.

... Vingt-cinq ans après la catastrophe, le césium 137 et le strontium 90 (dont les demi-vies avoisinent les trente ans) continuent de migrer verticalement dans le sol à raison de 2 à 4 centimètres par an.

... Des organismes végétaux qui s'adaptent !

Cependant, des scientifiques ont montré que certains végétaux, récoltés à Tchernobyl, avaient produit une meilleure résistance aux produits mutagènes au fil des générations. Cette résistance se manifeste directement dans l'ADN, qui s'est donc modifié pour s'adapter à l'environnement spécifique de Tchernobyl !

... Les effets chez les animaux

Les études concernant l'état de santé des animaux sont contradictoires et il est donc difficile d'établir des conclusions certaines. Des scientifiques ont dénombré des anomalies, par exemple chez l’hirondelle rustique (Hirundo rustica) qui possède un cerveau plus petit que les autres spécimens des régions non contaminées, ainsi qu'un ADN abîmé. Des espèces d'insectes et d'araignées ont également été étudiées et seraient en nombre inférieur à la normale. Pour d'autres scientifiques, la radioactivité s'avérerait moins nocive que prévu pour les animaux sur place.

- Les conséquences des retombées de l'accident de Tchernobyl en France

En France, malgré la volonté gouvernementale de rassurer la population, des doutes ont rapidement été émis quant aux possibles retombées sur le sol français de matières radioactives. Des études ont tenté d'évaluer leurs effets.

- Les conséquences sanitaires de l'accident de Tchernobyl en France

En 2000, à la demande de la Direction générale de la santé (DGS), l'IPSN, en association avec l'Institut de veille sanitaire (INVS) a mené une étude visant à apprécier la pertinence et la faisabilité des études épidémiologiques qui pourraient être conduites pour mettre en évidence d'éventuels cancers thyroïdiens dus aux retombées de Tchernobyl chez les enfants qui résidaient dans l'est de la France et avaient moins de 15 ans au moment de l'accident.

- Les conséquences sanitaires en France : le cas de la Corse

Il a été dit que la Corse aurait plus souffert du nuage radioactif que le reste de la France. Qu'en est-il réellement ? Quelles ont été les conséquences sanitaires de ces retombées pour la population corse ?

Source : Futura Sciences

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Tchernobyl : la vie reprend-elle ses droits ?




À Tchernobyl, vingt-cinq ans après l’explosion de la centrale nucléaire russe, la vie a-t-elle repris son cours ? Si les études disent tout et son contraire, il n’en reste pas moins que les plantes et les animaux sont présents, même dans les régions les plus contaminées.

Depuis vingt-cinq ans, une région autour de la centrale nucléaire de Tchernobyl, appelée zone d’exclusion, a été désertée par les populations locales. Pas moins de 135.000 personnes se sont réfugiées à plus de 30 kilomètres de la centrale, d’où se dégageait alors un panache radioactif suite à l’explosion du réacteur numéro 4. La ville de Prypiat notamment, située à 2 kilomètres seulement de la centrale est aujourd’hui encore à l'état de ville fantôme.

Si les humains, prévenus à temps, ont tant bien que mal pu survivre aux radiations et aux contaminations (avec toutefois des taux recensés plus élevés de cancer de la thyroïde, de malformations congénitales…), qu’en est-il de la faune et de la flore, restées sur place ?

La vie n’a pas disparu de Tchernobyl


Des reportages télévisés montrent au monde entier que la nature a repris ses droits, et que des végétaux et toutes sortes d’animaux (daims, lapins, souris, oiseaux et même des loups ou des ours…) envahissent la cité désertée. La vie a donc su triompher, ce qui est déjà en soi une bonne nouvelle, sachant qu’une exposition chronique à la radioactivité peut entraîner des processus biologiques (des dégradations de l’ADN et par voie de conséquence des cancers) menant à une mort plus ou moins rapide.

Mais ces animaux vivent-ils réellement aussi bien sur le site de Tchernobyl que dans une région non polluée par la radioactivité, ou sont-ils seulement des « survivants » ? Pour répondre à cette question qui fait débat, de nombreuses études ont été réalisées dans la fameuse zone d’exclusion par des biologistes internationaux.

La suite ICI

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...