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Pétrole : découverte d'un nouveau gisement en mer de Norvège

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OSLO - La compagnie pétrolière norvégienne Statoil a annoncé lundi la découverte d'un gisement susceptible de contenir entre 55 et 100 millions de barils de pétrole en mer de Norvège, dans lequel GDF Suez est partenaire.

Baptisé Snilehorn, le prospect est situé à 15 km au nord-est de Njord, un champ d'hydrocarbures déjà en exploitation, ce qui devrait faciliter son développement à partir des infrastructures existantes.

Statoil est l'opérateur du bloc avec une part de 35% aux côtés du français GDF Suez (20%), des allemands EON (17,5%) et VNG (2,5%), du norvégien Core Energy (17,5%) et de l'écossais Faroe Petroleum (7,5%).

Sur un autre bloc du secteur norvégien de la mer du Nord, un forage de GDF Suez réalisé à proximité du gisement Gjoa a en revanche fait chou blanc, a indiqué la Direction norvégienne du pétrole dans un communiqué distinct.


romandie 11/11/2013

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Oslo - Les partenaires d'un des plus gros gisements pétroliers de l'histoire norvégienne ont présenté vendredi le plan de développement du projet qui pourrait rapporter 177 milliards de dollars, sans pour autant être parvenus à s'entendre sur leur distribution.

Le gisement Johan Sverdrup, plus importante découverte d'hydrocarbures réalisée en Norvège depuis les années 1980, est présumé receler entre 1,7 et 3,0 milliards de barils équivalent pétrole en mer du Nord.

De manière inhabituelle, le plan remis aux autorités manque d'un accord sur la composition exacte du tour de table. Au coeur du problème: le fait que l'essentiel de cette manne gigantesque repose sur deux blocs distincts dont les concessionnaires ne sont pas nécessairement les mêmes.

D'accord pour mettre leurs actifs respectifs dans un pot commun, les compagnies divergent sur la répartition des parts dans un projet unifié, essentiel pour l'avenir du secteur pétrolier norvégien qui voit sa production décliner depuis le début du siècle.

Vendredi, le petit groupe norvégien Det norske oljeselskap a refusé de signer une proposition soutenue par les quatre autres compagnies. Pour Det norske, le principe déterminant depuis toujours est que les quote-parts dans Johan Sverdrup soient réparties selon une combinaison de volume et de valeur, a souligné son directeur général, Karl Johnny Hersvik, dans un communiqué. Puisqu'il s'est avéré impossible de trouver un accord là-dessus avec les partenaires, nous nous retrouvons dans une situation où nous ne pouvons signer l'accord, a-t-il ajouté.

Det norske fait valoir que le bloc dans lequel il détient une participation contient plus de la moitié des réserves totales du gisement et que les hydrocarbures y sont plus concentrés, et donc plus faciles et moins chers à exploiter car nécessitant moins de puits.

Les autres compagnies ne partagent pas ce point de vue. La répartition envisagée à ce stade donnerait 40,0267% de Johan Sverdrup au poids lourd norvégien Statoil, 22,12% au suédois Lundin, 17,84% à la société publique norvégienne Petoro, 11,8933% à Det norske et 8,12% au danois Maersk.

Faute de consensus, la question devra être tranchée par le ministère du Pétrole et de l'Énergie.


 
Les plateformes pétrolières off-shore en Norvège. Aktor 9/9/2012




Romandie 13/2/2015

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