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BelleMuezza

cheval : plantes toxiques

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Quand on est cavalier ou que l'on s'occupe de chevaux, autant savoir quelles sont les plantes nocives pour ce noble animal.

Ce que vous devez faire, si votre cheval (ou un cheval) ingérait par accident une plante toxique ou nuisibles :

- Ne jamais s'affoler au vu des symptômes plus ou moins alarmants. Les noter et prendre un échantillon
de la plante ou du fourrage suspect,

- Avertir le vétérinaire,

- Avoir en réserve les contrepoisons habituels : café, tanin, sulfate de soude, alcool, sucre (à administrer seulement dans le cas où le vétérinaire ne peut intervenir ),

- Avoir un relevé de la flore locale, avoir un herbier pour étudier et reconnaître ce qui pousse là où vivent vos chevaux.





A ces plantes, je pense qu'il convient de rajouter la glycine... car le poney d'une de mes amies est mort après en avoir ingéré.

Les Espèces Nuisibles de toxicité faible : Il s'agit de plantes provoquant des troubles passagers et, en principe, sans gravité.

- Faînes de Hêtre
- Gesse et Trèfle des Foins,
- Nielle des Champs (ou Nielle des blés, oeillet des champs, gerzeau) - agrostemma githago,
- Tanaisie - tanacetum vulgare


Pour voir les photos des plantes cliquezICI


Source : cheval et environnement

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Le séneçon de Jacob, une jolie petite plante sauvage jaune, aurait tué plusieurs chevaux et bovins, ces dernières années, dans le Jura et la Dombes. Aucun médicament n'existerait pour contrer son poison, particulièrement vénéneux.

Le séneçon de Jacob. Un nom synonyme de hantise pour de nombreux propriétaires de chevaux. Car cette jolie petite plante sauvage jaune aurait déjà provoqué beaucoup de dégâts dans le Jura et de la Dombes. Très vénéneuse, elle aurait ainsi causé la mort de deux chevaux en 2013, dans le secteur de Villars-les-Dombes, dans l'Ain.

 Séneçon de Jacob. Jeffdelonge CC BY-SA 3.0


Selon le propriétaire des bêtes décédées, il y a même "une loi du silence en Dombes à ce sujet", car "un éleveur de chevaux ou de bovins dont on apprend qu’un de ses animaux est mort empoisonné risque de perdre tous ses clients."

Il y a deux ans, deux de ses chevaux ont donc commencé à maigrir de façon anormale. "J’ai longuement recherché les empoisonnements possibles et j’ai fait le rapprochement avec les plantes qui occupaient leur terrain en fin d’été : le séneçon de Jacob, porteur d’alcaloïdes pyrrolizidiniques. J’ai alors contacté le centre antipoison de Lyon, qui m’a indiqué qu’aucun médicament n’existait", témoigne l'éleveur, sous couvert d'anonymat, dans les colonnes du Journal Le Progrès.

 Sénéçon de Jacob à la dune du Perroquet, Bray-Dunes. Claus Ableiter CC BY-SA 4.0

La mort de ses deux bêtes l'a particulièrement marquée. "J’ai tout essayé, même la médecine chinoise. (…) Ce sont des morts affreuses, poursuit-il. Sur le plan psychologique, ça a été dramatique, c’étaient deux bons chevaux, qui avaient fait des courses, que j’avais moi-même menés et auxquels je tenais. D’autres éleveurs que je connais ont perdu des chevaux et des bovins dans les mêmes circonstances."

Aujourd'hui, l'éleveur est contraint de prendre des "mesures radicales". La plante ne résistant pas aux produits chimiques, il traite ses prés trois fois par an et effectue quelques arrachages à la main. "Mais c’est un combat perdu d’avance, car toutes les graines de celles qui poussent le long de la route, quand le vent du nord souffle, viennent ici", conclut-il.


MetrONews 1/3/2015

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