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Contre les pièges qui tuent ! Pour leur interdiction...

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La Fondation 30 millions d'amis s'engage contre les pièges qui tuent.

Destinés à capturer des «nuisibles», les pièges tuent - sans distinction - des espèces protégées et même nos animaux domestiques ! La Fondation 30 Millions d’Amis, en partenariat avec l’ASPAS, réclame leur interdiction.

Pour réguler les populations dites de «nuisibles», les autorités et les chasseurs ont recours à des méthodes souvent synonymes de grandes souffrances pour les animaux et régulièrement dénoncées par les organisations de protection animale : empoisonnements, tirs et piégeages.

L'Association pour la Protection des animaux Sauvages (ASPAS) estime que des milliers d’animaux - toutes espèces confondues - sont ainsi tués chaque année par ce seul et dernier procédé. Sans compter les animaux pris au piège mais non tués sur le coup, cruellement blessés et parfois mutilés. Des faits qui se déroulent malheureusement «quotidiennement, dans nos campagnes» estime Madline Reynaud, directrice de l’ASPAS.

Ces pièges, dotés d’appât, attirent non seulement les «nuisibles» mais également de très nombreuses espèces sauvages de morphologie similaire, sans distinction. Les animaux sont saisis au collet et finalement étranglés. Des jeunes, moins expérimentés et donc moins méfiants que les adultes, sont également fréquemment piégés. «Genettes, chats forestiers, blaireaux, hérissons, castors d’Europe, loutres, hérissons... La liste des victimes collatérales est très longue» estime Madline Reynaud. Une technique qui porte atteinte à des populations déjà vulnérables sur le sol français, comme celle du vison d’Europe, en dépit de leur statut d’espèces protégées.

Mais ces appâts attirent également des chiens et des chats dans leurs mâchoires tueuses. «On ne peut alors les libérer sans une pince spéciale, et il n’est pas rare de voir l’animal agoniser sous les yeux de son maître... Certains propriétaires ont même dû euthanasier leur animal !» témoigne Madline Reynaud. L'emploi de cages ([i]notre photo) - à l'origine non dangereuses - a aussi été remarqué : «Ce type de piège n'est souvent pas relevé règlementairement, c'est-à-dire tous les matins, donc un animal non blessé peut y mourir de faim ou de chaud... sans parler du stress énorme causé à le fermeture de la cage»[/i] poursuit-elle.

[size=24][color=red]En France, ces méthodes sont légales et accessibles à tout un chacun dès l’âge de 16 ans, après une formation de deux jours et l’obtention d’un agrément. «Cela permet à de nombreux chasseurs de tuer des animaux en dehors des périodes légales de chasse», dénonce Madline Reynaud.

[b]Quant à l’absence de contrôle et de verbalisation dénoncée par les organismes de protection animale, elle pourrait être à l’origine de l’utilisation encore très largement répandue aujourd’hui des pièges à mâchoires pourvus de dents, pourtant interdits depuis plus de 20 ans !


La Fondation 30 Millions d’Amis, farouchement opposée au piégeage - quelle que soit l’espèce visée - participe à la campagne d’information* lancée par l'ASPAS. Une pétition est également accessible à tous.

Télécharger la plaquette de l'ASPAS - Imprimer les cartes à envoyer au ministère de l’Ecologie et à l’ASPAS


Photo : ©️ ASPAS


30 millions d'amis 27/11/2012

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Parmi tous les pièges autorisés en France, certains sont conçus pour tuer les animaux. Dans les faits, ces pièges se révèlent non sélectifs et provoquent la mort ou la mutilation de nombreuses autres espèces non visées. Théoriquement destinés aux espèces «uisibles», ils éliminent avec la même radicalité des animaux domestiques et des espèces protégées (chats, chiens, hérissons, écureuils, genettes, chats sauvages, loutres…).

L’ASPAS dénonce la barbarie de ces pièges et demande l’interdiction définitive de leur utilisation au ministère de l’Écologie, afin que plus aucun piège tuant ne puisse être tendu en pleine nature, proche de nos maisons et porter une atteinte grave à notre faune sauvage et domestique.

Signez pour obtenir l’interdiction des pièges tuant
!


CLIQUEZ ICI pour SIGNER la PETITION



Signez pour que l'on ne voit plus jamais ça : (image pouvant heurter les plus jeunes et les personnes sensibles)
Spoiler:
 




ASPAS décembre 2012

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A savoir : Les pièges sont répartis en cinq catégories. Les pièges dits «tuant » appartiennent aux catégories 2 et 5. Les pièges de catégorie 2 se déclenchent dès que l’appât du piège est retiré. Le piège se referme aussitôt sur le cou ou le dos, le tuant instantanément.

1 - Piège à oeuf :

2 - Piège à appat :


3 - piège en X ou Conibear


4 - Piège dit livre de messe :


5 - Piège cage tuante :


La cage tuante plie l’animal en deux, broyant sa colonne vertébrale, dès qu’il bascule le déclencheur du piège. Le bidon à double fond et le fût contenant une cage remplie d’eau appartiennent à la catégorie 5. Ils provoquent la mort de l’animal par noyade. Utilisés près des cours d’eau, ils sont destinés à noyer les ragondins et les rats musqués, mais sont également susceptibles de tuer des loutres et des castors.Le sujet traite des pièges des catégories 1, 3 et 4, a priori, non tuant, même s’ils sont non sélectifs, mutilants et très régulièrement tuant (si blessant mortellement ou non relevés à temps).


Le régime alimentaire : Les pièges appâtés de viande ou de végétaux, attirent non seulement des espèces dites «nuisibles» (notion d’ailleurs totalement anti-scientifique), mais aussi d’autres animaux partageant le même régime alimentaire : des espèces protégées (écureuil, loutre, genette…) et des animaux domestiques.

Similitude morphologique : Les mammifères de morphologie similaire aux espèces classées «nuisibles», sont également attrapés dans les pièges tuant. [i]Aveugle, la mécanique tueuse ne fait aucune distinction entre un vison d’Amérique et un vison d’Europe (espèce protégée, en danger), ou encore entre un renard et un chat domestique[/i].

exemples de similitudes...


Les jeunes individus : Très curieux de nature, ils peuvent être attirés par ces pièges létaux. La taille des juvéniles et leur confiance les incitent à entrer plus facilement dans les pièges.

Enfin, comment dans un département ou le putois ou la martre ne sont pas déclarés «nuisibles», les piégeurs peuvent-il honnêtement prétendre à la sélectivité des pièges qu’ils tendent pour la fouine ?


Théoriquement soumis à une réglementation stricte, trop de piégeurs ne la respectent pas sur le terrain. Des amendes et des contrôles insuffisants ne les incitent ni à utiliser les pièges correctement, ni à les relever régulièrement.


En tout état de cause, même correctement posés, ces pièges restent non sélectifs. Tant pis pour les genettes ou chats forestiers (espèces protégées), pour les chiens et les chats, ou pour les mustélidés non «nuisibles». En effet, quel piège est capable de faire la différence... ? ...



En dépit de l'interdiction depuis environ 20 ans des pièges à mâchoires, voilà ce que l'on peut parfois voir : (photo mise sous spoiler, l'image pouvant heurter les plus jeunes ou les personnes sensibles.)

Spoiler:
 


À travers les témoignages poignants adressés à nos associations, nous pouvons affirmer avec certitude qu’aucun piège n’agit sur une seule espèce.


Pourtant ses maîtres l'ont cherché, pourtant ses maîtres l'attendaient...



- Des pièges à mâchoires sont encore posés près des habitations et des écoles,
tuant ou blessant fréquemment des animaux domestiques
. C’est surtout le cas
des chats, qui se retrouvent pris au piège par les membres, car ils ont d’abord
le réflexe de tester l’appât avec leur patte avant d’y approcher le museau.

- Les mustélidés quant à eux, se font prendre directement par le cou et tuer net.

Que les pièges à mâchoires aient des dents ou non, de très nombreux chats et chiens finissent amputés. Parfois, le choc est tellement violent que le piège sectionne la patte de l’animal. Des complications amènent parfois les maîtres à faire euthanasier leur animal de compagnie, retrouvé mourant, la ou les pattes sectionnée(s). Dans d’autres cas, certains animaux rongent leur propre
membre jusqu’à l’amputation pour se libérer.
Ce que font aussi de nombreux animaux de la faune sauvage lorsqu'ils sont piégés par une patte, voire la queue...

Chat ayant dû être amputé suite à sa mauvaise rencontre avec un piège...)


Les animaux domestiques sont également victimes des pièges en X. Attirés par l’appât carné, les chiens et chats sont pris aux pièges, et ne peuvent être libérés sans une pince spéciale, indispensable pour « tendre » ou désarmer ces pièges. Il arrive alors que l’animal agonise sous les yeux de ses maîtres…



Parfois ce sont des espèces non «nuisibles» voire protégées (écureuils, hérissons, genettes, chats forestiers, blaireaux, loutres ou encore castors) qui se retrouvent eux aussi piégés par ces dispositifs. Les pièges à mâchoires pourvus de dents et/ou à palette sont interdits depuis plus de vingt ans, mais sont encore largement utilisés.


Vous trouvez un piège : que faire ?


- Contact de l'ONCFS de votre région : http://www.oncfs.gouv.fr/LONCFS-en-Region-district20. Adéfaut, contactez l'APAS ASPAS - Association pour la Protection des Animaux Sauvages BP 505 - 26401 Crest cedex, France - Tél : 04 75 25 10 00 - Fax : 04 75 76 77 58 site http://www.aspas-nature.org/


Vous trouvez un piège à mâchoires (avec des dents et/ou à palette) ou un assommoir perché : c’est complètement illégal ! Avertissez immédiatement l’ONCFS. Des gardes viendront neutraliser les pièges et dresser un procès verbal au propriétaire. Si l’ONCFS ne peut pas venir rapidement et que vous devez partir, jetez, bien prudemment, un objet suffisamment lourd sur le piège pour le désarmer afin qu’aucun animal ne soit pris illégalement. Pas de caillou assez gros à proximité, trouvez et prenez une branche assez grosse et faites fonctionner le piège pour le désarmorcer en vous tenant à bonne distance... Vous pouvez aussi prévenir les services de police et/ou de gendarmerie... voire même les pompiers car de tels pièges pourraient aussi faire des victimes humaines parmi les jeunes enfants...

Vous trouvez un piège à oeuf, un piège à appât, un piège en X ou « Conibear », un livre de messe ou une cage tuante (voir les photos au début du message) : assurez-vous, bien prudemment, que le piège porte le numéro d’agrément du piégeur (il s’agit en général du numéro du département XX suivi par des chiffres et/ou des lettres) et qu’il porte bien le sigle Piège Homologué Environnement PHE (sigle ). Si l’une et/ou l’autre de ces mentions fait défaut : prévenez l’ONCFS mais aussi l'ASPAS !

Tous ces pièges (sauf si utilisés dans les bâtiments, enclos et jardins) ne peuvent être posés à moins de 200 mètres d’une habitation et à moins de 50 mètres des routes et chemins ouverts au public.

Attention : Ces pièges doivent aussi, obligatoirement, faire l’objet d’un affichage en mairie et d’une signalisation sur place de la zone piégée, par le biais de panneaux. Si l’une et/ou l’autre de ces trois conditions n’est pas respectée : prévenez l’ONCFS et / ou l'ASPAS !

- Pour le bidon à double fond, la même réglementation s’impose (n° agrément,
sigle PHE, affichage en mairie) mais il n’est pas nécessaire de signaler sur place la
zone piégée et il n’y a pas non plus de distance minimum.


- Pensez aussi à prendre des photos et envoyez-les à l'ASPAS, à la Fondation 30 millions d'amis et/ou autres associations de protection de la faune sauvage,, accompagnées de votre témoignage. En effet, grâce à vous il sera possible de montrer et dénoncer les horreurs de ces pièges...

- Si les gardes de l’ONCFS ont dressé un Procès Verbal, envoyez-le également (une copie dans un premier temps) à l’ASPAS qui pourra agir en justice contre l’auteur des faits.

Ce que vous pouvez aussi faire pour faire connaître la pétition et les horreurs subies par les animaux piégés :

- Écrivez à vos élus locaux (maires, députés, sénateurs) : Imprimez le texte de la pétition ou envoyez la carte jointe si celle-ci figure sur le document mis à votre disposition par l'ASPAS et/ou la Fondation 30 millions d'amis.
- Ecrivez aussi à Mme ou M. le Ministre de l’Écologie (actuellement Delphine Batho) et envoyez une copie à l’ASPAS pour comptabiliser le nombre de participations.
- Écrivez également au Président de la République (Palais de l’Élysée - 55 rue
du faubourg Saint-Honoré - 75008 PARIS, pli dipensé d’affranchissement).

• Signez et diffusez la pétition “Non aux pièges tuant!” sur papier, sur internet…
• Soutenez financièrement nos associations pour renforcer cette campagne.
• Parlez-en autour de vous et réagissez auprès des médias.
• Envoyez vos témoignages, prenez des photos.
• Adressez-nous des articles de presse relatifs aux incidents avec des pièges.

Chacun peut agir... Pourquoi pas vous ?




Campagne à l’initiative de l’Association pour la Protection des Animaux Sauvages (ASPAS), association reconnue d’utilité publique et 100% indépendante, ne percevant aucune subvention publique pour préserver son autonomie et sa liberté d’action.

Elle oeuvre pour la protection de la faune sauvage, pour la préservation du patrimoine naturel et pour la défense des droits des usagers de la nature. Elle demande l’arrêt de la chasse le dimanche, mène des actions pour une meilleure connaissance et protection des loups, des amphibiens, des chouettes effraies, etc. Elle sensibilise l’opinion publique à l’utilité de chaque espèce animale et à l’aberration du classement des "nuisibles".

Elle obtient le déclassement de nombreuses espèces devant les tribunaux et a permis ainsi de sauver plus de 500.000 animaux "nuisibles" depuis 1993. Avec plus de 2.000 procédures engagées devant les tribunaux depuis 30 ans, l’ASPAS oeuvre efficacement pour le respect et l’évolution du droit de l’environnement.


Depuis plus de 30 ans, la Fondation 30 Millions d’Amis – reconnue d’utilité publique – oeuvre sur tous les fronts pour défendre et protéger les animaux, qu’ils soient domestiques ou sauvages, d’ici ou d’ailleurs. Sur le terrain, auprès du grand public ou des autorités, elle combat les maltraitances, les abandons, les trafics, les pratiques barbares… La Fondation sensibilise et éduque aussi les nouvelles générations au respect de la vie sous toutes ses formes pour faire évoluer notre société vers une meilleure considération de l’animal.

Pour plus d’informations :

ASPAS - BP 505 - 26401 CREST Cedex - Tél 0475251000 - Fax 0475767758
Site : www.aspas-nature.org - Courriel : info@aspas-nature.org

Fondation 30 millions d’amis - 40 cours Albert 1er - 75008 PARIS - Tél 0156590444 Site : www.30millionsdamis.fr






Sources : Conception ASPAS - Rémi Collange - 11/2012 - Photographies : ASPAS - JF. Noblet - F.Limosani Décembre 2012

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Début : 5/01/2013 - Fin : 5/07/2013
Auteur : Patricia Frelier

Cible : Association de 30 millions d'amis


Pétition adressée à la Fondation 30 millions d'amis afin que soit interdit à la vente ce piège monstrueux, afin que vous m'aidiez à sauver des animaux.







Où va t-on si l'on permet cela ?

C'est un SOS que j'envoie pour tous ces animaux que je respecte, aidez nous à gagner !

Signons et gagnons ! Merci pour eux !



CLIQUEZ ICI pour SIGNER la PETITION




Mes Opinions.com 8/1/2013

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Gouffy, chien de berger avait diparu le lundi 3 mars, vers 13h00. Vu sous un certain angle, il a eu de la chance : il est rentré tout seul à la maison le jeudi 5 mars, vers 13h00... Oui mais abîmé !

 Photo La Dépêche


Il avait une grande plaie autour du cou ainsi qu'à une patte, ce qui a nécessité de le descendre plusieurs fois chez le vétérinaire et il vraisemblablement dû souffrir. Le cou, ça va ; la patte, un peu moins, ce qui pose quand même problème pour son travail mais d'ici, l'été, il devrait s'en remettre.

La cause ? Il serait sans doute rentré plus tôt s'il n'avait été pris dans un collet à renard, d'où le piégeur l'a finalement sorti. Depuis, on a entendu parler de plusieurs histoires de chiens ou chats ainsi piégés, dont une toute récente, le jeudi 14, au-dessus du château de Sainte-Marie, mais pour celui-là, le maître n'était pas loin. Attention donc à vos animaux !

Il y a deux types de piégeurs, le clandestin, et des piégeurs qui reçoivent une habilitation préfectorale après avoir suivi une formation et qui doivent obéir à certaines règles (les collets doivent être relevés chaque jour, deux heures au maximum après le lever du soleil par exemple). En l'occurrence, il s'agissait d'un piégeur habilité, affilié à la Société des piégeurs des Pyrénées qui en compte 250 sur 1.200...

Mais le plus aberrant dans l'histoire, c'est qu'il n'existe aucune obligation d'assurance, semble-t-il, pour ce genre d'accident et c'est au maître de payer les soins du chien.

Gouffy, même s'il est rentré en mal en point : il est rentré... Mais il y a davantage de chiens et de chats victimes qui, eux, n'ont pas cette chance !

Les pièges sont à bannir la sécurité de tous : animaux et enfants... A notre époque cela n'a plus de sens de piéger les animaux... Parce qu'ils ont été décrétés nuisibles par certains hommes... Alors qu'en réalité, la grande majorité est utile dans les écosystèmes dans lesquelles ces animaux vivent. De plus, comme vous avez pu le lire dans les messages précédents, les animaux ainsi piégés meurent rarement sur le coup et toujours dans une grande souffrance !


La Dépêche 26/3/2014

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