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Pzal9

Faites attention au gentleman roux et aux mustélidés !

Messages recommandés

Bonjour à tous ! J'écris ce sujet pour vous aider à protéger vos poules du rusé renard et de la gracieuse fouine/marte/belette/furet. J'en ai fait hier, samedi 21 septembre 2013, la douloureuse expérience : mes 3 poules ont été tuées par un renard ou un mustélidé, on ne sait pas. (RIP Paka, Plume et la petite poule Sad )

Bref, voici quelque astuce.

Comment protéger son poulailler des prédateurs ?

Les poulaillers sont très courants en campagne, et l'intrusion par des prédateurs y est tout aussi courante. Ce sont des renards, des putois, des belettes et même des chats sauvages qui viennent dévaster les enclos, tuant et emportant les poules mais aussi leurs œufs. La meilleure solution pour éviter l'intrusion de ces prédateurs est de faire surveiller vos poules par un animal gardien imparable : l'oie.


Étapes de réalisation

1


Si l'oie est capable de monter la garde aussi bien qu'un chien dans une cour, elle protège de façon incomparable les hôtes d'un poulailler. Les oies n'ont effectivement peur de pratiquement rien, et les animaux qui s'introduisent dans les poulaillers dans le but de tout dévaster et qui se heurtent à des oies finissent par reculer et par battre en retraite.

2


Pour mettre poules, coqs et poussins à l'abri, donnez leur deux ou trois oies comme compagnes. Au mieux, choisissez deux femelles et un jar : celui-ci est un peu plus hargneux que ses compagnes, il n'en défendra que mieux le territoire.

3


Des oies qui se défendent d'un prédateur peuvent arriver à tuer certains d'entre -eux. Dans le meilleur des cas, elles dissuaderont les intrus d'avancer plus, et si ils osent finalement gagner du terrain, elles n'hésiteront pas à charger. Il battra donc en retraite et laissera votre poulailler en paix. De plus, les oies poussent de tels cris lorsqu'elles sont menacées que vous ne pourrez que les entendre et aller voir ce qui se passe.

4

Une seule recommandation s'impose lorsque l'on décide de mettre des oies avec des poules : les prendre jeunes, de manière à ce qu'elles apprennent à cohabiter avec ces dernières. En effet, si vous introduisez des oies adultes qui n'ont jamais vécu avec des poules dans un poulailler, elles risquent de vouloir les chasser pour s'accaparer le territoire.
                                      (Source : Le Parisien - Comment fait-on)
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Comment protéger son poulailler des attaques du renard ?

Le renard roux est bien connu de tous tant il suscite des passions. Dans l'esprit du public, il passe pour un invétéré mangeur de poules et de lièvres. Or, la réalité est totalement différente. S'il fallait traduire cette d'image d'Épinal, c'est d'un fantastique mangeur de rates et de souris dont il faudrait parler ! Les rongeurs forment, en effet, l'essentiel de sa nourriture. De nombreux agriculteurs le savent pour l'avoir vu chasser, tôt le matin, non loin de leur tracteur, dans les prairies fraîchement fauchées. Record parmi les records : on a dénombré 48 campagnols des champs dans l'estomac d'un seul individu. C'est dire ! Mais c'est vrai qu'il peut aussi se rabattre sur les poules qui constituent des proies faciles… surtout lorsque les portes du poulailler lui sont grande ouvertes…
Les renards n'aiment pas la musique
Voici un truc testé et envoyé par un membre. Il suffit de mettre un vieux poste de radio branché sur une station qui diffuse de la musique dès la tombée du jour jusqu'au matin, la musique empêchera tout renard d'approcher, même s'il elle est diffusée sur une tonalité très basse, nos amis goupils sont bien trop méfiants que pour s'aventurer dans les parages !
Basse-cour anti-renards
L'Institut Bruxellois de Gestion de l'Environnement (IBGE) a réalisé un prototype de poulailler anti-renard dans une commune à forte densité de renards en Région bruxelloise. En deux ans, aucune tentative de pénétration n'eut lieu.

  • Les dimensions de la clôture n'ont aucune importance, le nombre de poulets que l'on y détient variant selon la largeur et la profondeur;
  • Sa hauteur doit atteindre au minimum 130 cm ;
  • Installez la clôture du côté extérieur par rapport aux piquets de soutien afin que d'autres prédateurs naturels (mustélidés, par exemple) ne puissent pénétrer à l'intérieur du poulailler en grimpant sur ces piquets. Pliez la partie supérieure du grillage vers l'extérieur en formant un angle d'environ 30° (photos) ;
  • La maille du grillage ne doit pas dépasser 3 à 4 cm afin d'empêcher les petits Mustélidés (hermine, belette) d'y pénétrer;
  • Placez autour du poulailler – juste contre la clôture - une rangée de dalles de 40 cm de largeur afin que le renard ne puisse creuser un tunnel d'accès. Les Renards sont futés, mais ils n'ont pas le réflexe de commencer à creuser un peu avant ces dalles (photos) ;
  • Placez le dortoir et la mangeoire de votre volaille à quelque 30 cm de hauteur afin de diminuer les possibilités d'accès aux rats et souris, ceux-ci pouvant attirer les prédateurs.

Extrait de la revue l'Homme et l'Oiseau , juillet-août-septembre 2001 – n° 3. 
Avec l'aimable autorisation de la Ligue royale belge pour la Protection des oiseaux.



Les renards n'aiment pas les crottes de chien
Un truc supplémentaire, assez facile à mettre en oeuvre, nous a été livré par une lectrice qui, après avoir subi des pertes importantes, n'a plus jamais eu le moindre problème suite à son application.
Le renard est un chasseur territorial. Si vous éparpillez des crottes de chien (ou de chat... ou éventuellement d'humain - à chacun son truc), autour de l'enclos des poules, il va croire que ce territoire est déjà occupé par un autre chasseur et va passer son chemin. La même chose vaut pour l'urine.

Bien sûr, il faut renouveler l'opération régulièrement afin que les excréments ou l'urine continuent à dégager des odeurs... 




                                    (Source : Natagora)
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Comment protéger ses poules des prédateurs ?



Si vous rêvez d’élever quelques poules et deux trois lapins à la campagne, et que votre voisin, goguenard, tente de vous en dissuader en évoquant la ruse de goupil, le bal des fouines et la férocité des rapaces, cet article est écrit pour vous! Vous y apprendrez qu’il est possible d’être plus malin que les prédateurs de nos chères volailles et que, tout compte fait, ces chapardeurs méritent davantage de respect que de haine. J’ai moi-même une vaste basse-cour qui a déjà payé un lourd tribut aux amateurs de chair fraîche, mais avec le temps je me suis aguerrie: je suis fière aujourd’hui de ne plus avoir subi de perte depuis au moins… trois ans! Voici donc quelques trucs pour que vous puissiez narguer à votre tour le renard et d’autres bêtes friandes de poules.

Connaître ses ennemis

C’est la condition indispensable pour les affronter! En voici trois qui pourraient vous donner du fil à retordre:

Le renard: C’est le pire de tous. C’est sûr, il a déjà deviné votre projet et s’apprête à y déceler la moindre faille. Comme dirait le peintre et naturaliste gruérien Jacques Rime: «Le boulot du renard, c’est de vérifier tous les soirs si le poulailler est bien fermé». Vu sous cet angle, on finit par mieux comprendre l’animal et à ne s’en prendre qu’à soi-même si du sang coule pendant la nuit. Goupil donc, très zélé, ne rate aucun tour de ronde. Il s’approche en fin de soirée, voire en plein jour – à l’abri de la haie ou des hautes herbes – s’il est très effronté. Il creuse et grimpe tout aussi facilement par-dessus des grilles de plus de deux mètres de haut. Il est capable de trouer à coups de mâchoires du simple treillis à poules. S’il entre dans le poulailler, c’est le carnage. L’animal n’est pas sanguinaire, mais son instinct le pousse à tuer «tant que ça bouge» car sinon, il croit ne pas avoir achevé sa proie.

La fouine: Elle adore les œufs et les poules, et se faufile plus facilement que le renard dans les trous du poulailler. Mais elle est moins acharnée que lui et se contente plus volontiers de cerises. Vos protections antirenards devraient suffire à l’éloigner.

L’autour: C’est le danger venu du ciel. On confond souvent ce rapace avec la buse, au grand dam de celle-ci qui n’y sera pour rien dans la mort de vos poulets. Vous serez sans doute confronté à ce bel oiseau au poitrail strié si vous habitez non loin de la forêt où il niche. L’autour chasse à l’affût. Il observe discrètement sa victime depuis la branche d’un arbre avant de lui plonger dessus. Il la transperce de ses serres, la plume puis lui dépèce les filets pour les consommer sur place ou les emporter au nid.

Blinder le poulailler

Creusez une tranchée profonde d’au moins 40 cm sur tout le périmètre de vos enclos à poules ou lapins. Vous y dresserez des grilles de fer à béton sur une hauteur d’environ 50 cm, ainsi que tous les deux mètres, les piquets en bois qui soutiendront le treillis. Attachez ensuite sur ces grilles le bas de votre treillis. Choisissez un grillage solide, à petites mailles, d’au moins 2 m de haut, afin de pouvoir circuler dans l’enclos sans vous casser le dos. Rebouchez ensuite les tranchées: le renard tentera de creuser mais s’avouera vite vaincu devant tant d’obstacles.

Nul doute que Goupil reviendra à la charge, par le haut cette fois! La meilleure défense consiste à bâtir carrément une vaste volière, fermée avec une charpente et un treillis aussi solides que sur les côtés. Plus simple et moins cher: le filet (genre anti-étourneaux) que l’on tend par-dessus l’enclos. Ces deux solutions sont efficaces contre le renard, l’autour et la fouine. Par contre, le filet devra être ôté en hiver si des chutes de neige sont annoncées, car le poids de celle-ci sur le filet risque bien de faire vaciller toute la structure. Un fil électrifié
à hauteur de museau s’avère également dissuasif, mais ce stratagème n’est pas très convivial pour les enfants.

Surveiller le potager

A la belle saison, je cède bien sûr parfois au plaisir d’ouvrir le parc aux oiseaux et de voir s’égayer les poules dans le verger et le jardin. Mais mieux vaut y réfléchir à deux fois car, à moins de rester dans les parages et de jouer les gardes-poules, un accident est vite arrivé (les chiens aussi aiment le poulet…). Si vous optez malgré tout pour la liberté des volailles, un dernier conseil: grillagez votre potager, car les poules y sont de redoutables prédatrices!

Aino Adriaens



Des fers à béton et un treillis enfoncés dans le sol dissuadent en principe le renard de creuser.







Avec une installation comme ci-dessus, le goupil aura tendance à vouloir passer par le haut, tel cet effronté (à dr.) qui s’est introduit dans le parc en plein jour. Emprisonné dans la volière, on le voit ici en train de s’en échapper en coupant le treillis avec les dents.



                                                      (Source :  Terre Nature)

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Un poulailler à l'épreuve des renards.



Poules et renards ne font pas bon ménage : la volaille enfermée dans un enclos constitue un véritable garde-manger pour le renard.
Cependant, de nombreux ennuis peuvent être évités de façon efficace et bon marché avec un poulailler à l'épreuve des renards! Les enclos existants peuvent être adaptés assez facilement pour offrir une protection efficace.
Pour que le poulailler soit totalement protégé contre les renards, il convient de prendre les précautions suivantes :


  • Comme les renards chassent principalement la nuit, le mieux est d'enfermer les poules dans une petite cabane. Celle-ci doit être placée au moins à 30cm du sol.
  • Le poulailler doit être entouré d'une clôture solide de 1,9m de haut, avec des mailles de 3 à 4 cm maximum, le fil doit être placé de préférence à l'extérieur des poteaux.
  • Les 40 cm au sommet de la clôture doivent être pliés vers l'extérieur, pour former un angle de 20 à 30°.
  • Pour éviter que les animaux ne creusent sous la clôture, il convient de poser au sol, le long de la clôture, côté extérieur, un treillis, des dalles ou des planches sur 40 cm de large.
    Eventuellement on peut aussi enfouir la clôture des nouveaux poulaillers à 50 cm dans le sol.


                                     (Source : Blog Skynet de Birds Bay)

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